Fond du lac sheriff

Fond du Lac, Wisconsin

2012.07.04 06:20 Fond du Lac, Wisconsin

Everything related to Fond du Lac, Wisconsin.
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2021.03.18 03:10 FreeRangeThinker Fond du Lac it’s a Weird Place

Fond du Lac, it’s a Weird Place! This is the forum where you can engage in open conversation about the good, the bad, the odd, WHATEVER... We are the malcontents - if you want extreme positivity, look elsewhere. And don’t be a Lisa (a Lisa is worse than a Karen).
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2021.07.29 22:46 bigstreets719 Fox Valley

For anything related to the Fox Valley in Wisconsin. From Fond du Lac, Oshkosh, Appleton, Green Bay and everything in between!
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2023.06.02 14:33 tristesse-au-reveil J'ai l'impression qu'il pense que je suis là pour le servir

En postant ce qui va suivre je ne m'attends pas à recevoir de conseils, peut-être des témoignages similaires au mien avec un peu de chance, mais j'ai surtout besoin de me plaindre, en fait.
Voilà, mon mec (40) avec qui je (30) suis depuis un an semble me traiter de plus en plus comme une assistante. Au départ ça allait, même s'il avait déjà tendance à "m'imposer" de le suivre - il est musicien et il est très occupé, alors selon lui la solution la plus simple pour que nous passions du temps ensemble, c'est que je le suive durant ses concerts. Le problème, c'est que : - Quand il joue, je n'ai pas l'impression de passer du temps avec lui. Moi je suis assise dans le public, et lui sur scène. - N'étant pas très sociable et le monde de la musique étant une communauté avec des règles très spécifiques dont j'ignore tout, je me sens souvent mal à l'aise et complètement inutile, ce qui n'est pas très agréable - Ma grand-mère est en fin de vie et chaque fois que j'accompagne mon mec au travail un dimanche, je me dis "c'est autant de temps de perdu avec elle", et ça me troue le cœur - Comme je suis prof, j'ai beaucoup de travail le weekend (correction de copies, préparation des cours etc) et j'ai l'impression qu'il ne se rend pas compte que oui, je ne fais "que" 21h de travail présentiel dans la semaine, mais en vérité, durant certains weekends, j'aurais juste besoin de rester chez moi pour boucler mon travail pour la semaine à venir - J'aimerais juste, égoïstement, passer parfois du temps toute seule ou en compagnie de mes amis sans avoir à me justifier.
Quand je lui expose les arguments ci-dessus, c'est toujours la même réponse : je ne pense qu'à moi, je pourrais être un peu plus solidaire avec lui qui bosse tellement, qui s'épuise, qui a besoin de soutien moral.
Le truc c'est que quand il est en vacances, il part en voyage sans moi (il me propose de l'accompagner, mais c'est trop cher pour mon petit budget...) et là, ça ne le dérange plus de ne pas passer de temps avec moi. En fait, c'est que quand il fait quelque chose de peu agréable qu'il a besoin que je l'accompagne, on dirait. Du coup, je ne pense pas que ce soit moi, la personne égoïste. Évidemment, il n'est pas question pour lui de modifier ses horaires de travail pour être plus souvent avec moi. En gros, soit je le suis partout, soit on ne se voit pas.
Autre chose qui me saoule de plus en plus : la répartition des tâches. Honnêtement, il vit chez moi 6 jours par semaine, et je ne l'ai jamais vu faire une machine, donner des croquettes au chat ou faire des courses utiles (il est incapable de regarder ce qu'il manque dans l'appart avant d'aller au supermarché, alors quand il revient, je vois par exemple qu'il a acheté des bières et du saumon fumé, par contre nous n'avons plus de papier toilettes et il n'a pas pensé qu'il serait utile d'en acheter... Donc je me retrouve à aller faire les courses moi-même.) Il est capable de manger 6 oeufs ou un fromage entier dans le même repas, et il ne paye jamais rien. Il gagne deux fois plus que moi et tous les soirs il vide mon frigo. Toute seule (enfin moi et le chat), je dépense environ 70€ par semaine. Depuis qu'il est entré dans ma vie, je suis plus proche des 150€, mais il ne veut pas me croire quand je le lui signale. Selon lui, je ne me rends pas compte de tout ce qu'il achète pour nous deux (encore une fois, il achète des bières un soir par semaine, du pain tous les mercredi, et quelques légumes genre une ou deux fois par mois, quand ça lui prend de cuisiner. Tout le reste, c'est moi qui le paye. Jamais il n'a pensé à nous ravitailler en lessive, en shampoing, en produit vaisselle... c'est comme s'il pensait que tout ça apparaissait chez moi par magie, comme un enfant.)
En fait, la seule chose qu'il accepte de payer avec plaisir, c'est les sorties. Si on va boire un verre, il paye 4 fois sur 5.
C'est à ce sujet que j'ai vrillé tout à l'heure. En général, le vendredi midi, nous mangeons ensemble, en ville. Vers 11h30 je l'appelle donc pour lui demander où il avait envie de manger, et il ne répond pas. Je le rappelle à maintes et maintes reprises, mais pas de réponse avant 13h. Il me rappelle en mode "euh écoute je t'avais dit qu'il fallait que je trouve un moment pour [faire tel truc lié à son travail] alors je l'ai fait ce midi, voilà, désolé mais on ne se verra pas". Je me dis que c'est pas cool de me prévenir aussi tard, mais bon, il a une bonne excuse. Un peu plus tard il m'envoie une photo. La photo d'un énorme hamburger. Il était parti au restaurant sans moi, et en plus il trouvait drôle de m'envoyer la photo.
J'ai pris ça comme un manque de respect assez conséquent, et honnêtement, je pense à le quitter. Ça peut paraître extrême pour quelque chose qui semble aussi anodin mais quand on se crève le cul pour quelqu'un, qu'on a plus un rond, plus un moment de liberté, et que cette personne semble trouver que payer un menu à 10€ dans une friterie pour nous c'est déjà trop, eh bien je vous jure, c'est comme recevoir une bonne grosse claque.
Je suis triste, je me sens conne, je me déteste de ne pas réussir à lui faire prendre conscience que tout ça est injuste. Il a bon fond, il pourrait comprendre, mais mon ressentiment à son égard m'empêche d'aborder le sujet avec lui maintenant. Je crois que c'est trop tard, que mon envie de le fuir ne me quittera plus.
submitted by tristesse-au-reveil to besoindeparler [link] [comments]


2023.06.02 14:00 CognitiveBirch [Ressource] Les archives municipales de Toulouse

En plaisantant dans un commentaire ce matin sur le retour du pilori et de la flétrissure, je me suis rappelé un site que j'aime beaucoup, celui des archives municipales de Toulouse.
D'une manière générale, les archives sont à la fois un aperçu concret de la vie et des affaires du passé, une mine d'or d'anecdotes croustillantes et un jeu de patience. On peut déterrer énormément d'info, mais il faut avoir du temps, car le résultat n'est jamais garanti. Et quand il arrive qu'on déniche une perle rare, on ne va pas savoir quoi en faire sur le moment.
Heureusement, les archives municipales de Toulouse ont eu la bonne idée à une époque de créer des fonds documentaires consultables avec un angle de vulgarisation pédagogique. Les plus croustillants de ces fonds sont les procédures criminelles et surtout les bas-fonds (calembour). Ça ne vous empêche pas d'aller fouiller le reste, comme le fonds des minutes du conseil municipal par exemple, mais je ne vaisprésenter que les deux autres.
Que vous ayez besoin d'un peu d'inspiration à partir d'affaires un peu confidentielles, que vous cherchiez à vous renseigner sur le fonctionnement d'une administration locale un peu particulière au Moyen Âge, ou que vous vouliez en apprendre un peu plus sur la justice médiévale et le monde criminel, cette ressource est pour vous. Chaque billet est un document pdf, leur lecture est parfois longue, mais les fonds ne sont plus mis à jour, il n'y a donc pas le feu.

Les procédures criminelles à la carte

Elles portent chacune sur une histoire judiciaire avec une présentation des différentes affaires dans lesquelles le ou les principaux personnages sont concernés et une transcription des documents des procédures. Le résultat est une vision d'ensemble du point de vue de la justice de la vie de criminels ou des histoires sordides parfois crues, souvent sinistres.

Les bas-fonds

Ils explorent quant à eux le monde criminel selon une thématique différente à chaque fois. C'est l'occasion d'apprendre ce qu'était la pierre morne, que Toulouse avait des fourches patibulaires (ces piliers auxquels on exhibait le cadavre des condamnés à mort) dans plusieurs endroits à l'extérieur de la ville, ou qu'on appelait ces gibets des Salades et que l'appellation est même restée de nos jours dans des noms de quartier ou de rue.
Au passage, si les fourches patibulaires ont existé un peu partout en France jusqu'à la Renaissance, je n'ai jusqu'à présent trouvé qu'une seule autre Salade, à Pau, mais cette fois, ça désignait une fosse commune où on enterrait les condamnés à mort de l'autre côté de murailles qui n'ont pas résisté aux guerres de religion.
Dernière anecdote macabre, mais plus insolite : la justice toulousaine a recensé un vrai cas de tentative de nécromancie impliquant un crâne volé, un prêtre anonyme, un boucher et d'autres inconnus. Le but de la cérémonie était de devenir riche, sans succès. Personne n'a été poursuivi, car le crâne qui avait été volé était celui d'un condamné à mort exhibé sur les fourches, un moins que rien qui ne méritait aucune considération de la part de la justice.
Bonne inspiration !
submitted by CognitiveBirch to ecriture [link] [comments]


2023.06.02 13:05 Small-Selection9040 How Wall Street is ‘forcing’ corporate America to go ‘woke’

How Wall Street is ‘forcing’ corporate America to go ‘woke’ submitted by Small-Selection9040 to u/Small-Selection9040 [link] [comments]


2023.06.02 12:33 rri75 Ma coriande fait du bois

Ma coriande fait du bois
Très débutant,
Tous les pieds de coriandre sont épais et fond du bois, les quelques feuilles sont rouges. J'ai beau étêter la coriandre ne refait pas/peu de feuilles et plutôt que des fleurs.

https://preview.redd.it/qedya63k1l3b1.jpg?width=2268&format=pjpg&auto=webp&s=c2ae89e5f1bab8d3a9d1db28f58eff622be64eee

Bref, j'ai raté un truc, j'arrache et je refais des semis ? Merci de votre aide !
submitted by rri75 to jardin [link] [comments]


2023.06.02 10:05 Utingui Il est vain de s'attaquer au harcèlement scolaire

Le harcèlement est un comportement humain tout à fait normal de dominant-dominé résultant de millions d'années d'évolution et de sélection naturelle.
Alors oui, quand on est adulte, on arrive à refreiner ses bats instincts, mais dans l'enfance, c'est tout bonnement impossible. Il est impossible de venir à bout du harcèlement scolaire. Ce serait comme obliger des lions à devenir végans: ça n'existe que dans les Disney.
S'attaquer au harcèlement scolaire ne résoudra pas le problème de fond et aura même un effet négatif car on condamnera souvent des boucs émissaires: tel directeur qui n'a pas assez agit (mais pour faire quoi), tel élève qui n'a fait que suivre le groupe de harceleurs (qu'aurait-il pu faire d'autre à son âge), etc etc.
submitted by Utingui to opinionnonpopulaire [link] [comments]


2023.06.02 09:28 Wheldrake36 Looking for Dungeondraft collaboration on an Absalom project

Looking for Dungeondraft collaboration on an Absalom project
Bonjour, y'all. I'm currently working on a collaborative project (in the French PF2 community) to create a thieves' guild-themed campaign set in The Puddles district of Absalom. While my end goal is to publish under the Infinite licence, for the time being we're working under the Community Use licence and expanding on existing Paizo content.
For example, we began with a close-up image of a small section of The Puddles map, and added shops, NPCs and background storylines. We played the equivalent of 6 sessions back to back last weekend around a physical table.

The Floating Market in The Puddles district of Absalom
But now I'm in a bind - to playtest this campaign, it's moving online, and I need maps of the flooded Puddles district that correspond (more or less) to the Absalom maps of this quarter. I started a map on Dungeondraft, but don't really have the time to devote to mapping that would do it justice.
So I'm on a fishing expedition for Dungeondraft mavens who might be interested in developing some maps on spec. There's no telling when or whether this project will run its course all the way to publishing, but good maps will really help.
Any comments, questions or suggestions are welcome. Currently, all the initial campaign text is in French, but that will change (relatively) quickly. I've been wanting to do a Thieves' Guild themed campaign for years, with fond memories of running and playing in similar campaigns in the mid 70s in Judges Guild's City State of the Invincible Overlord, the first full-blown city setting ever created for an RPG. Now Absalom beckons, it's just so huge that it invites sharecroppers to move in and develop it further.

A view from the edge of the Floating Market
Some local thieves case a warehouse during a delivery
Let me know, either through PM or answers here whether you might be interested in pitching in.
submitted by Wheldrake36 to Pathfinder2e [link] [comments]


2023.06.02 08:31 Nohan07 Le corps d'une femme retrouvé dans un lac près d'un camping municipal du Tarn-et-Garonne

Le corps d'une femme retrouvé dans un lac près d'un camping municipal du Tarn-et-Garonne submitted by Nohan07 to Tarn [link] [comments]


2023.06.02 08:30 Global_Relative_3177 Chapitre 14: La Girouette

Bonne lecture.
Sur le port Munchkin de Bast, le ponton d’honneur a été habillé exclusivement pour l’arrivé du prince. Des chevaux décorés de soie l’attendent ou alors un large palanquin en cèdre sculpté et dont dix personnes pourraient s’y tenir sans soucis. Un tapis bleu a été posé sur le sol humide du ponton parsemé de fleur rouge. Bel accueil de la part du nomarque même si ce dernier sait très bien que cela est vain. A bord de sa barque l’humeur du prince change, il remarque nombre de petit détail gênant et notamment un l’exaspérant au plus haut point. Le nomarque Miysis est présent au centre du tapis, à sa droite un scribe et derrière lui deux Sittiu l’éventent avec de longues et large feuilles de bananier. L’homme d’État est grand bien habillé et maquillé. Réputé pour soigner son apparence autant qu’un membre de la famille royale cette fois il en fit peu. Son regard sévère cache en réalité une grande exaspération quand au motif de cette visite. Hor se lève de son petit trône et regarde avec attention les lèvres de Miysis.
— Shani répète moi ce qu’il dit. La servante se place à ses côtés puis observe à son tour les lèvres du nomarque discutant avec le scribe:
— Il dit « j’espère qu’il ne restera pas longtemps… son humeur changeante me gâche ma journée et ma soirée ». Oh, il vient de réaliser que je lisais sur ses lèvres. Pied à terre, Hor s’avance vers son palanquin sans même attendre le nomarque.
— Messire je…
— Ferme-là Miysis, inutile de te montrer poli je sais très bien que tu es aussi ennuyé par cette visite que moi je le suis à respirer cet air insalubre. J’attends tes explications. — Une cargaison est tombée d’un bateau hier, la poussière qui s’en est dégagé a crée cette odeur. Demain elle sera remplacé par l’habituelle parfum des fleurs sois en sans crainte. — Il y a aussi moult détails que j’ai relevés mais sachant que je viens de poser le pied ici je sens que je ne serai pas au bout de mes surprises. Allez amène-moi au carnage, je veux savoir lequel de mes frères ou soeur en est à l’origine. Le nomarque fait signe à tous sauf au scribe de partir reprendre leurs occupations, malgré la présence du fils de Ramsès, le fonctionnaire se dispense de tout acte protocolaire. A bord d’un palanquin flottant au-dessus du sol le prince est en place, il ne souhaite pas s’épuiser inutilement. Shani le suit à pied abritée du soleil par l’ombre du transport. Le nomarque ouvre l’escorte avec huit gardes à la posture tanguante sûrement après sa soirée alcoolisé à Boubastis. Miysis se frotte les mains non par stress simplement pour les enduire d’huile parfumée, son attitude est calme car il sait pertinemment que la vue du chantier va faire flancher le coeur du prince quelles que soit ses explications. — Attendez! le convoi se stoppe immédiatement. Miysis où est le protecteur? — Le protecteur a été pulvérisé sous plusieurs blocs mais n’ait crainte son coeur est en ma possession. Une armure a été commandé hier je crois. Pour ce qui est des autres protecteurs ils sont postés au chantier à surveiller les ouvriers. — Tu aurais pu en faire venir un autre du chantier Nord. J’espère que tu n’as pas appelé de l’aide extérieur? Cela me porterait fort préjudice aux yeux de Pharaon. — Ne t’en fais pas je gère la situation. — Connaissant ta nature avare je pressens un grand danger. L’escorte rejoint le chantier de la grande porte par la route de l’épervier à Boubastis. Une large allée de sphinx à tête du dieu Râ bordée de pavé en or s’arrêtant au pied de la pyramide. Des palmiers et des lotus flottants sur les nombreux petits bassins entre ces sphinx égayent les lieux. Le temple de Bastet se situe au départ de l’allée mais aucune raison n’oblige le prince à le rejoindre. — Arrêtez le convoi! crie soudainement le prince. — Quel problème te dérange encore? demande Miysis en se retournant. — Surveille tes paroles nomarque. Durant un instant j’ai cru que la route n’était pas alignée face à la pyramide, dit-il en mesurant avec ses pouces et index en formant un demi rectangle. Shani estce droit? Je n’ai pas l’impression que c’est droit par rapport à la futur grande porte. Peut-être que je devrais orienter l’allée vers le Sud-Ouest? — Mon prince cette partie de la ville avait déjà été reconstruite trois fois selon des mesures très précises, nous n’avons plus l’argent pour des modifications. Sois sans crainte tout est parfait. Il ordonne, encore inquiet, l’avancé du palanquin pendant que Shani le rejoint dans l’embarcation. Un rituel qu’elle doit accomplir lorsque son prince est anxieux, elle lui tient la main droite tout en le rafraichissant avec un petit éventail fait de plume de faucon blanc. Cette proximité entre eux est toujours aussi forte pourtant cela n’a rien charnel, dans le Cartouche et dans son nome. de folles rumeurs circulent à leurs sujets. Le nomarque est toujours autant dérangé par cette complicité, il détourne le regard et semble prier à la déesse Bastet que cette visite inutile s’achève. Arrivé au chantier Est de la grande porte, les Sittiu se tuent littéralement à la tâche pour nettoyer les derniers décombres, des disputes se déclenchent avant de s’éteindre par l’arrivé du prince. Les quinze gardes deviennent aussitôt plus professionnel et se rapprochent de leur souverain. Lors du passage de Hor les ouvriers s’arrêtent dans leur besogne afin de le saluer d’un faux sourire. — Revoilà la girouette, chuchote un ouvrier agenouillé. — Pourquoi ce surnom? demande un adolescent derrière eux. — Parce la girouette change de sens au gré du vent et lui il change d’avis selon son humeur… Le palanquin passe devant eux avec une odeur de fleur anesthésiant le nez des ouvriers. Hor se sent digne d’un grand Pharaon, ce qu’il ne manque pas de dire à Miysis: — Tu vois nomarque c’est un signe des dieux, je suis fait pour le trône pas comme cet incapable de Amonherkhépeshef. Tout le monde me respecte ici. — Qui serait assez fou pour s’attaquer à un prince aussi royal, marmonne Miysis. — Plait-il? — Le lieu de l’accident est un peu plus loin messire, ajoute le fonctionnaire très agacé. Près de la grande porte un attroupement de Sittiu interpelle le prince, ses ouvriers n’ont pas entendu l’arrivé du fils de Ramsès tant le spectacle les amuse. Leurs outils sont délaissés sur les blocs brisés ou même le sol et de vive voix ils scandent un décompte avec l’entrain d’une fête privée. — Dix! Neuf! Huit… Hor se lève d’un bond dans son palanquin manquant de faire tomber la pauvre Shani. Cette dernière, en voyant le spectacle se déroulant sous yeux, se prépare à calmer son prince. Pour le fils du pharaon la colère lui monte au nez si bien qu’il demande à faire siffler la corne du convoi. La scène est banale dans le monde des Sittiu, tous regroupés en arc de cercle, Geburah est au centre à fouetter Shedet pour insubordination. Le déchu est attaché à un poteau, un rescapé de son sabotage. Il supporte l’affreuse douleur lui déchirant la chair du dos et se donne un point d’honneur de ne pas crier dans le but de garder son honneur. Lui aussi n’a pu entendre l’arrivé du prince. Geburah quand à lui s’arrête à cinq coups de fouet du décompte final, son sourire s’estompe lorsqu’il voit Hor s’immiscer encore une fois au chantier. — Pourquoi ne travaillez-vous pas? dit Hor au sommet de la pente. La pyramide de mon père souffre d’un grand retard ce n’est pas à ce train que je deviendrai Pharaon! Toi le Sittiu viens ici! Cet ordre désignait le contremaître Geburah, il jette le fouet en cuir couvert de sang puis grimpe la pente le séparant du prince. Agenouillé Geburah grogne tel un chien enragé. Hor lui assène un violent coup de pied en plein visage le faisant dégringoler jusqu’à la base de la rampe. Le déchu, maintenant détaché sur ordre du nomarque, sourit et glousse en voyant son bourreau désormais martyrisé. — Remonte déchet! Geburah se relève puis exécute l’ordre non sans vouloir aplatir la tête de la girouette, les ouvriers restent sans voix. L’écho des autres chantiers retentit tandis que les esprits s’échauffent, les pires punitions peuvent leurs être infligées. — Que faisais-tu? reprend le prince une fois son serviteur de nouveau à genou. — Je… Le Sittiu se prend une violente gifle de la part du prince en lui ordonnant de s’adresser de manière plus formel. — Votre majesté, insiste Geburah la joue toute rouge, je punissais ce déchu pour avoir tenté de saboter le chantier. Hor observe de loin le pauvre Shedet complètement effondré par la douleur, ventre à l’air mais le regard orienté vers la scène, il tourne ses yeux vers Geburah et répond: — Cet Égyptien frêle comme un roseau aurait à lui seul ralentit ce chantier pharaonique? — Déchu mon prince, informe Shani, il arbore la marque d’Amenta sur le torse. — Ferme-là, rétorque Hor, du sang Égyptien coule dans ses veines jamais ô grand jamais il ne voudrait empêcher la construction d’un si beau monument pour le grand Pharaon. — Tout peux arriver messire, s’incruste le nomarque, saches que les grues sont désormais rétablis depuis plusieurs heures, le chantier est bientôt opérationnel. J’ai commandé un autre éléphant et plusieurs tonnes de granit pour compenser les pertes. Des ouvriers iront aussi travailler dans d’autres nomes pour renflouer les caisses. Tu vois, inutile de te tracasser. Hor n’est pas satisfait, il observe Geburah serrant fortement ses dents puis il prend une décision. — Miysis, pend ce misérable bien en évidence sur le chantier et laisse son cadavre pourrir plusieurs jours. Il fera un bon repas pour les vautours et un bon exemple pour son remplaçant. Les gardes procèdent à l’arrestation de Geburah, les Sittiu, complètement abasourdis, font du bruit pour affirmer leurs mécontentement sans que cela ne fasse réagir le prince. Shedet applaudit frénétiquement son prince dont l’estime remonte depuis les abysses, ce fils de Ramsès ne lui était pas si formidable jusqu’à quelques instants. — Attendez ne l’emmenez pas! ordonne Shani aux gardes. — Je peux savoir ce qui te prends? demande Hor agacé alors qu’il remontait dans son palanquin. La demoiselle le prend à part et chuchote: — Mon prince ton ordre n’est pas approprié, tu dois changer d’avis. — Tu es folle! Si je fais cela je passerai pour un faible… — Je viens de le calculer, le moral des ouvriers baissera et si tu tues cet homme l’espérance de vie des Sittiu à Bast diminuera… — Pourtant il y a de cela deux mois j’en ai tué une vingtaine projetant de m’assassiner. — Tu te méprends mon prince, Ammout les a tué par pur légitime défense, en revanche ce Geburah comptera dans la moyenne si la pendaison l’attend. Tu ne veux pas que la donnée d’espérance de vie soit plus faible que celle du nome Pi-Ramsès de ton frère? — Jamais! le prince se tourne vers Geburah et déclare, tu es viré je ne veux plus jamais te croiser sur mon chantier. La nouvelle semble similaire à une exécution aux oreilles de Geburah. Ce dernier allait se relever et protester en hurlant mais la lance des gardes près de sa gorge l’en empêcha. Hor fait face aux ouvriers désormais calmés et toujours agenouillés. — Vous tous bande de rats! crie le prince, que celui qui a saboté le chantier se dénonce. Je double, non triple, sa récompense. Personne n’est assez fou dans l’assemblée pour se dénoncer, pourtant Hor est persuadé que le sabotage est dû à l’un de ses frères ou soeur comme il en a l’habitude. — Miysis, appelle le prince Hor, tu m’as bien fait savoir que le feu est à l’origine de ce chaos, ne serait-ce pas l’oeuvre de ce piètre Méryrê? — Impossible prince Hor sinon sa mère serait venue le récupérer parmi les ouvriers. — Misère, rétorque le prince. — Aucun de tes frères ou soeurs n’a tenté de te nuire mon prince, c’est une bonne chose n’estce pas? — Non car cela voudrait signifier que les dieux m’ont punis… Une lame pourfend un soldat dans le dos, le poignard ressort du ventre aspergeant Shani de sang. La demoiselle en reste sans voix, tétanisée par la rapidité du geste. Une vingtaine de Sittiu poignarde en un éclair les autres gardes puis encercle le prince et son entourage. Leurs visages sont crispés par la colère et leurs poings se serrent autour d’arme de fortune en cuivre aussi tranchante que des épées. Shani se place derrière Hor tandis que le nomarque hurle: — Retournez à vos place bande de dégénéré! Vous savez à quelle punition vous vous exposez? — Ta gueule Miysis on n’en a marre de toi et ce royaume. Vous nous avez dépossédé de nos terres pour construire une foutue pyramide qui ne sera jamais achevé. Et pas plus tard que le mois dernier vous avez massacré les nôtres sans raison. — A cause de toi foutu girouette, ajoute un jeune Sittiu, nous avons perdu beaucoup de nos frères que tu envoies sans raison aux mines Cobra. Prépare-toi à mourir! Le prince Hor écoute à demi-mot ces protestations puis rejoint son palanquin en trainant Shani. — Je n’ai pas le temps pour ces futilités, Miysis massacre tous ceux qui se rebelle… Une flèche enflammée artisanal embrase le palanquin, manquant de peu la tête de Shani toujours effrayée par l’altercation. Les gardes Égyptiens arrivés en renfort se font massacrer par d’autres rebelles cachés dans la foule agenouillée, le fonctionnaire et Hor sont seuls face aux dangers. — Shani je t’interdis de t’éloigner de moi! — Hor je ne sais pas me battre alors moi aussi tu dois me protéger, déclare Miysis. — Là tu exagères! Par ta faute et ta radinerie nous sommes sans protecteur, il me faut gagner du temps. Les ouvriers dociles ne bougent pas de leurs places, ils s’agenouillent tous les mains sur la tête afin de ne pas être accusé de complicité. Les agresseurs le savent ils ont très peu de temps pour effectuer cette besogne et cela reste la seule occasion de toute une vie. Hor dégaine son khépesh luisant au soleil et frappe le premier assaillant en faisant bien en sorte de ne pas dévoiler toute sa force à l’ennemi. Son arme s’illumine comme un brasier pourtant cela n’effraie guère les agresseurs. Un autre s’approche, esquive le coup en biais du prince et frappe le khépesh avec sa matraque en bois. L’arme du Sittiu s’embrase comme un fétu de paille avant que le khépesh ne lui transperce le coeur. Quatre autres Sittiu s’approchent puis assènent des coups avec leurs dagues en cuivre mais le prince les pare sans problème. Le cuivre chauffe facilement au contact de son arme. Chacun lâchent les couteaux de fortune, la paume marquée d’une brûlure au troisième degré, avant de se faire trucider chacun leur tour. Une autre flèche est tirée le manquant de peu. Néanmoins en se retournant il voit que Shani à subit l’attaque, la flèche l’a touchée à l’épaule gauche la faisant chuter à terre tant la douleur est accablante. — Vous allez me le payer, grogne-t-il. Hor se déchaine sur huit autres hommes tel une bête féroce du désert cependant il se fait submerger en perdant sa concentration. Cerné de toute part la fin semble proche. Tout à coup un grondement précédé du cri du dieu Horus dans le ciel annonce sa libération, Ammout surgit du sol puis dévore les assaillants. Cette bête est la dévoreuse des morts et protectrice des enfants de Pharaons. Affublée d’une tête de crocodile, d’une moitié de corps de lion en avant et d’hippopotame derrière, ce monstre de quatre mètres de haut et six de longs ne laisse aucune chance à ces ennemis. Les hurlements se succèdent dans une pluie de chair et de sang recouvrant par dépit Hor et surtout le nomarque protégeant Shani. — Mon prince tu vas bien? dit-elle en le rejoignant. — Oui mais toi, bon sang tu aurais pu l’esquiver cette flèche. Je dois te faire soigner, Miysis on retourne au palais et dit aux ouvriers de reprendre le chantier. Quand à toi Ammout je te remercie, surveille les travaux en attendant la garde royale je te prie. La bête répugnante ne répond pas, trop occupé à avaler les derniers cadavres dans sa grande gueule pleine de croc. Au palais éclairé de nuit par les nombreuses lampes solaire et brasiers, Shani se fait soigner par les prêtresses, la blessure n’a rien de mortel. Pendant ce temps le prince et le nomarque s’entretiennent dans le bureau du haut fonctionnaire avec une vue sur le port silencieux au Sud et sur la grande pyramide inachevée à l’Ouest. Les lampes du plafond sont aussi éblouissantes que le soleil. Dans la même pièce un large bassin fait face au port à l’opposé du mobilier où travail le fonctionnaire. Le bureau, posé en face d’un long sofa rouge, est fait d’un granit serti de pierre et d’or, avec en fond plusieurs étagères en cèdre brun contenant à la fois des papyrus holographiques et du vin dans des amphores en argent. Hor engloutit autant de nourriture que possible en utilisant le bureau comme table, depuis hier il n’a pas mangé à cause de ses obligations au tribunal. — Arrête de trembler Miysis, tu me fais pitié. — Le stress d’une attaque a toujours été difficile pour moi et tu le sais très bien, répond-il affalé sur le sofa avec une serviette humide sur le front. Ces heures d’entrainement au Kep restent de très mauvais souvenirs. Un verre de lait bien chaud me réconfortera, dit-il en se relevant. La boisson se réchauffe dans un récipient fonctionnant à l’énergie solaire, en dix secondes le verre est prêt. La bouche pleine de poulet cuit à point n’empêche pas le prince d’ajouter: — Inutile de ressasser ce contretemps, je suis venu pour voir le chantier mais surtout pour te parler de plusieurs choses. Apparemment il y a eu une tuerie à l’hôtel à Memphis je voulais savoir si des rumeurs se sont propagés en Basse-Égypte? — Rien du tout, en réalité c’est comme si cet évènement ne s’était jamais déroulé. Pourquoi, quelque chose ne va pas? — Non c’est un juste un mauvais pressentiment, bref il y aussi cette foutue Hathoriti qui me convoque en permanence chez elle mais je n’ai pas le temps pour batifoler. — Serait-ce plutôt à cause de Shani… — Retire ça immédiatement! Tu ne vas pas t’y mettre toi aussi. Par Horus, je suis un prince je fais ce que je veux. En tout cas Hathoriti insiste de plus en plus tout comme Baketmout et surtout ma mère. Cette dernière veut absolument une alliance avec d’autres familles. — Je pense plutôt qu’elle veut quelqu’un de confiance à tes côtés. Hathoriti est formidable même si elle à très bonne presse avec les Sittiu. Des rumeurs tournent à son sujet, des sordides allant jusqu’aux plus…dépravés. — Ah oui, j’en ai entendu parler mais tout est faux, c’est la fille de Ramsès la plus chaste qu’il possède. Mais bon j’ai des affaires plus importantes à régler, la pyramide et mon nome m’accapare tout mon temps. Je dois absolument devenir Pharaon. Le nomarque termine son verre de lait, son front émet des plis de colère en voyant le prince salir son bureau de ses doigts graisseux. Se sentant plus calme il déclare: — Mes informateurs félins m’ont aussi fait part de problèmes étranges dans la Basse-Égypte notamment au Sud du Nil, une activité très sanglante. — Sûrement un nomarque ou un de mes frères ou soeurs faisant du nettoyage, tant que cela n’intervient pas dans mon nome je m’en fiche. — Cela m’étonnerait aussi que ce soit cette secte, d’après mes renseignements ce serait l’oeuvre d’une bête. Mais si cela devient le cas? Si la secte des crocs d’Apep semble en être à l’origine que dois-je faire? — Si mon nome, dit le prince en se versant un verre de vin, subit les foudres de ce groupe tu as carte blanche pour y remédier. De toute manière cette secte est trop lâche pour sortir de Kush. Règle-moi d’abord ce problème de chantier en priorité, grogne-t-il en secouant sa main pleine sauce épicée, si la porte de la pyramide n’est pas installée d’ici trois mois je jure sur Horus que tu iras la poser toi même. Shani apparait au seuil de la porte bien portante au grand bonheur du prince cachant immédiatement son sourire lorsque Miysis le regarda. — Bon il est temps de nous séparer, dit le prince en s’étirant et se nettoyant les mains dans une vasque que Shani apporte. — Déjà! Reste pour une partie de mehen. — Ne me prends pas pour un imbécile je sais très bien que ma présence t’énerve, Shani va préparer la barque, je ne veux pas attendre surtout en pleine nuit. La servante sort immédiatement puis Hor s’exprime une dernière fois au nomarque: — Au fait j’allais oublier, Odion le medjay va sûrement passer te voir. Enfin normalement. — Quoi! crie le nomarque en sursautant, mais pourquoi? — Je n’en sais rien, apparemment tu n’es pas le premier nomarque à qui il rend visite. Si tu n’es pas au courant c’est qu’il a dû beaucoup effrayer tes collègues. Ne me dis pas que tu as fait quelque chose de mal! — Non je le jure sur Bastet, dit-il en tremblant de tout son corps. — Alors tu ne crains rien, le medjay est un homme juste sauf si tu as commis un crime. En tout cas je pense très certainement qu’il viendra mais je ne sais pas quand. Le vizir des armées est sur le qui-vive, sans doute lié à une affaire mais laquelle? Bon je te laisse Miysis, je t’enverrai des messages pour te donner d’autres ordres. La pièce est plongée dans le silence, le nomarque est tétanisé par la nouvelle, tremblant de tout son être il décide de reprendre du lait. Le prince Hor s’apprêtait à partir mais une servante Sittiu accourt soudainement dans le bureau. — Messire Miysis! Le nomarque fit tomber son verre éclatant dans un fracas assourdissant sur le sol propre. — Sale petit effrontée! J’espère que tu as une bonne raison de faire cela! — Sistre votre chat, elle s’est enfuie messire, halète-t-elle. A ces mots le nomarque tombe sur le sofa prêt à perdre connaissance. Hor rejoint enfin sa barque direction le Cartouche.
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2023.06.02 01:05 we-are-humanity Imaginaire partie 2

La discrimination est un autre exemple de nos actions. Elle est basée sur une différence insignifiante de l’individu. La peur de l’étranger qui prend racine dans la nature de l’Homme durant ces premières générations. Et cette méfiance est si futile et irrationnelle qu’elle est capable d’infliger de lourd dégât lorsqu’on l’a mise dans la tête de tous. Et malgré la religion et la science qui ont pour vocation d’unir l’humanité vers la lumière. La peur, l’obscurantisme et beaucoup d’influence prennent parfois le dessus. Et les résultats obtenus sont très éloquents. Nous avons implanté les discriminations dans toutes les cultures, elles prennent des formes et des degrés différents, mais sont présentes à toutes les échelles, discriminations sur les religions, sur la couleur de peau, sur les origines, opinions. Toutes les différences entre individus sont des prétextes supplémentaires pour ajouter de l’animosité dans homo sapiens. Fort à l’extérieur faible à l’intérieur. Le XXème siècle sera pour tous un siècle très mouvementé. Il voit le jour avec l’apothéose des grands empires qui traduit la soif d’exploration de nouvelles contrées et de domination face à lui-même. Sa propre colonisation fera des ravages. Au début du siècle se produit un événements que nous n’avons pas du tout imaginé. La découverte par des scientifiques de la relativité restreinte. Cette théorie scientifique est le premier pas vers la découverte notre espèce mais également de notre univers. Elle est la raison de ma mission sur Terre, car l’humain évolue de plus en plus vite avec ce surplus d’énergie. Il lui reste beaucoup à faire avant de le voir nous envahir. Mais si rien n’est fait il le fera pour sûr avec au moins autant de cruauté qu’il s’est infligé à lui-même. Dissipé l’énergie apporté par les énergies fossiles, telle est notre mission. Pour l’accomplir nous avons étudié la situation d’homo sapiens. Il s’est approprié toute sa planète. Et dans le monde colonial qu’il s’est infligé, plus aucun individu n’est indépendant vis à vis de son semblable. Grâce aux progrès techniques notamment mais surtout à l’idée grandissante de nation qui s’est diffusée avec la période des empires. Par un jeu d’alliance bien aiguiller de notre part, un conflit entre deux nations peut entraîner par effet domino des milliers voire des millions d’hommes vers un combat meurtrier. Une guerre mondiale, planétaire. Nous avons démontré qu’il était possible d’entraîner l’humanité toute entière dans un conflit sanglant et d’évaporé toute l’énergie de notre victime dans sa propre perte. Cette guerre nous a fait beaucoup progresser, elle a ouvert une boîte de Pandore. Une course à l’armement, un développement de technologie jamais vu dans notre but de tué homo sapiens. Nous avons naturellement décidé de tout mettre en œuvre pour laisser cette boîte ouverte. Nous nous sommes assurés de voir signer les traités de paix les moins pacifistes qu’ils soient. Qui invitent à la vengeance. Pour voir naitre nouvelle guerre mondiale. Nous avons imaginé un nouveau schéma pour contrôler les États. Au lieu d’une famille royale ou d’un système démocratique, qui laisse peu de marge de manœuvre pour nos conseillers. Nous avons imaginé un système où tous les pouvoirs reposeraient dans les mains d’un seul homme. Centraliser le pouvoir nous facilite la tâche. Dans les démocraties ou la diversité d’opinion est importante, il nous faut convaincre beaucoup plus de monde pour arriver à nos fins. Plus il y a de diversité moins la population du pays est malléable pour nous. A l’inverse plus le dictateur a une emprise sur sa population plus nous pouvons faire de grandes choses. Nous réduisons au maximum la diversité intellectuelle du pays en dupliquant l’idéologie du grand chef dans la tête de tous ses citoyens. Ainsi s’il saute d’une falaise c’est toute sa nation qui sautera avec lui, dans l’hypothèse où la diversité cognitive ait été réduite à zéro. Et au milieu du XXème siècle nous avons failli atteindre ce zéro. On a même cru voir la fin d’homo sapiens. Nous avions acquis tellement de pouvoir avec nos dictateurs que nous n’avons même pas eu de contestation à la mise à mort de dizaines de millions d’humains. Nous avons mis en place une organisation méthodique, une industrialisation de la mort, cela nous a été très compliqué. Il a fallu diviser la tâche pour que chacun apporte une petite pierre au tombeau de l’humanité, tout en dissimulant le plus possible le résultat final. Aussi il a fallu mettre en place un planning de la mort. En effet s’il ne se soucie pas de ce qu’il ne voit pas, l’humain ne peut pas vivre sans voir. Malheureusement l’humain reste un animal imprévisible et nos dictateurs se sont laissé avoir par leur soif primitive de domination. Et ont provoqué leurs chutes en provoquant plus fort qu’eux. Certes elle a entraîné la mort de millions d’humains mais a fait faillir notre tentative de mise à mort totale. Toutefois cette guerre mondiale nous a apporté la clé de notre mission. La bombe atomique. L’homme a découvert la réaction nucléaire en chaine, mais toute découverte n’est pas bonne à prendre surtout en temps de guerre ou le seul but est de tué. Ainsi cette découverte sera immédiatement mise à disposition comme une nouvelle arme de destruction de masse. Une arme monstrueuse capable de réduire à néant des milliers de vie humaine en une fraction de seconde. Quel que soit le futur, cette arme est un pas en avant vers l’extinction d’homo sapiens. Cette arme est irrationnelle, à l’image de la période à laquelle elle a été créé. Mais c’est une nouvelle boîte de Pandore qui s’est ouverte et cette boîte a changé à tout jamais notre approche de la mission. La priorité étant maintenant d’arrêté à tout prix homo sapiens quitte à faire une impasse sur la vie sur Terre. Après cette guerre les humains ont mis en place une organisation mondiale censée ramener la paix et ne plus jamais se voir reproduire les horreurs passées. Et pourtant à peine le conflit terminé que des tensions internationales sont réapparues. Les traités de paix ne viennent pas apporter la paix, mais encore une fois récompenser les vainqueurs, en leur donnant une position à part dans l’organisation. Ils sont ancrés dans l’outil de paix et personne ne peut les arrêter. Pour recréer un climat de tension et de mise en danger d’homo sapiens, nous avons distribué l’arme atomique à de nombreuses nations pour que la prochaine guerre mondiale devienne nucléaire et réduise en poussière notre espèce ciblée. De plus nous travaillons depuis lors à la mise en place de dictateurs aussi puissant que ceux d’antan mais avec le feu atomique toujours dans les mêmes ambitions. Nous avons à nouveau dirigé les jeux d’alliance pour crée au rang mondial une bipolarisation du monde. Période comparable au moyen âge où les religions se battaient pour imposer sa vérité aux autres. Il y eu beaucoup de conflits indirects entre les deux blocs, à chaque fois nous pensons avoir accompli notre travail. Mais l’humain est si illisible que notre succès est encore à faire et la bombe atomique n’a pas encore été employé à grande échelle. Ces guerres nous ont quand même donné une nouvelle carte en main en distribuant des millions d’armes de guerre à un très grand nombre d’humains. Ce qui constitue un excellent terreau pour convertir à l’échelle individuelle les conflits entre États, et utiliser toutes formes de discriminations pour faire pression sur la détente. C’est dans ce contexte de chaos que j’ai été envoyé en mission. Peu avant mon arrivée deux choses crée par l’homme, allaient bouleverser mon planning, internet et les smartphones. Ces deux inventions combinées ont permis à l’homme moderne de faire une petite révolution qui est de connecté en temps réel des centaines de millions d’individus. Et dans notre optique de casser les liens entre les individus cela nous a inquiété. En plus cette technologie s’est appliquée simultanément dans tous les pays, pour tout le monde. Elle a mis en lumière des absurdités, fait trembler des dictatures, car n’importe qui peut partager au monde entier ce qu’il voit sans aucun filtre ni aucun délai. Mais ce nouvel univers digital, nous l’avons su nous l’approprier. En effet l’internet réuni tous les humains, toutes les cultures car il ne possède aucune restriction. Il réunit l’homme dans un univers fictif. C’est grâce à cette particularité qu’il peut être un outil très puissant. Étant donné qu’il n’est pas contrôlé notre anonymat en est garantie, de plus la manière de fonctionnement d’internet implique de stocker toutes sortes d’informations très précises sur chacun des utilisateurs. Ces informations nous y avons accès, et plus il y a d’humains sur internet plus notre connaissance dans homo sapiens s’affine. Ces informations nous montrent instantanément les effets de nos influences sur la cible. Avec internet, les réseaux sociaux se sont progressivement dématérialisés. Nous les avons d’abord soumis aux jeunes humains qui sont nos cibles les plus influençables et le futur de l’humanité. Cette nouvelle arme que sont les réseaux sociaux nous a permis d’éloigner encore plus l’humain à lui-même, d’alimenter les tensions en son sein en dupliquant toutes les formes de discriminations déjà présentes dans le monde réel et en y ajoutant un nombre illimité de fausses informations. L’humain a récemment fait évoluer son monde d’interaction digitale avec des réseaux sociaux qui utilisent la mémoire de court terme. Cette évolution amplifie le phénomène de bulle cognitive avec une répétition intensive d’informations similaires et une augmentation du temps d’exposition à ces réseaux de nouvelle génération. La mémoire à court terme ne laisse pas la place aux réflexions posées mais à l’irrationalité et aux émotions ce qui a tendance à accentuer encore d’avantage l’addiction de l’individu. Nous sommes maintenant capables de mettre chaque individu dans sa bulle face à son écran, de telle sorte qu’il n’y ait pas deux bulles similaires, qu’il n’y ait pas deux humains semblables. Qu’ils ne se reconnaissent plus pour qu’ils s’affrontent tous. En plus ces réseaux sociaux font apparaître leurs contenu grâce à un algorithme, ce qui permet de choisir ce qui sera vu par qui, quand et où. Nous pouvons choisir qui ira dans quelle bulle. Ainsi pour notre plus grand bonheur l’humain nous a fait cadeau de l’outil de propagande le plus puissant jamais vu dans son existence. On a obtenu en quelque sorte une dématérialisation de la vie sociale d’homo sapiens, et une simplification de notre mission par la même occasion. C’est notre nouveau moyen de pouvoir sur homo sapiens, et dans le futur nous allons le synchroniser avec les dictatures déjà existantes. Ce cocktail explosif n’a que peu de chance d’aboutir à une vraie fin pure et simple de l’espèce entière. Cela peut au plus lui apporter quelques égratignures. Tous ces artifices n’ont que vocation à détourner l’attention et à dissiper au maximum l’énergie acquise grâce aux énergie fossiles. Car durant tout ce temps écoulé l’humain a déployé une énergie folle pour se battre contre lui-même et tous ces conflits lui ont apporté des blessures qui finissent naturellement par cicatrisées et n’auront laissé derrière elles que quelques marques inutiles à son existence. Alors que pour nous ces conflits sont un gaspillage d’énergie très intéressant car elle n’est pas utilisée pour son savoir et elle propage notre poison en quantité abondante. Notre poison est le résultat de la combustion d’énergie fossile. Un gaz à effet de serre très puissant. Il a été emprisonné par un long processus naturel long de plusieurs dizaines de millions d’années. Et tous ce gaz à effet de serre capturé à lentement changé le climat sur Terre et a ainsi à l’aide de la sélection naturelle fait évoluer les différentes espèces déjà présentes. Les grands singes ont évolué en homo sapiens indirectement grâce au changement climatique très progressif apporté avec la captation de carbone au fil du temps. Notre idée est essentiellement basée sur la destruction du travail de la nature. Et de manière très brutale de tel sorte qu’aucune espèce n’ait le temps d’évoluer. Comme pour la fin des dinosaures ou un changement climatique brusque, entraîner par un astéroïde, a provoqué l’extinction d’une majeure partie de la biodiversité présente et a éliminé définitivement la majorité des espèces présentes. En fait le dérèglement climatique ne tue pas directement homo sapiens, mais disparition des conditions de son apparition va provoquer sa propre perte. Nos calculs ont démontré qu’une espèce n’aura jamais la même énergie que l’ensemble des espèces vivantes additionnés. Cela pour la simple et bonne raison qu’aucune espèce du monde vivant capte l’énergie de la même manière et qu’aucune espèce n’est capable de capter l’énergie reçu par sa planète de toutes les manières différentes. Certes le savoir d’homo sapiens lui a permis d’acquérir des technologies capables de capter de différentes manières de l’énergie, mais très rares sont les techniques qui sont aussi optimisées que des centaines de millions d’années de sélection naturel. Ainsi chaque extinction d’espèces est autant d’énergie nécessaire pour remplacer sa fonction dans la biodiversité et préserver un environnement hospitalier. Et ainsi plus le nombre d’espèces disparus est important plus il faut de l’énergie pour compenser leurs fonctions. C’est un cercle vicieux, si trop d’espèces disparaissent, homo sapiens perd toute l’énergie capté par ces espèces, et en dépense infiniment plus pour remplacer leurs rôles sur Terre. Et comme nous l’avons rendu dépend aux énergie fossiles la boucle est bouclée. L’extinction d’une espèce est une petite victoire pour nous car cela signifie que la Terre perd les conditions à la survie de la biodiversité d’homo sapiens. Et donc le rapproche de sa disparition et la réussite de notre deuxième piste, provoquer le changement brusque des conditions climatiques sur la planète Terre et entraîner avec elle la disparition d’homo sapiens. J’ai compris mon travail, je vais influencer l’homme sur les réseaux sociaux. Mais pour moi avant de se lancer sur les réseaux sociaux, il faut se faire un réseau dans le monde réel pour comprendre un peu plus comment les humains en général interagissent entre eux. Depuis ma présence sur Terre mes échanges sociaux ont été très restreins comme on me l’avait conseillé. J’ai le sentiment que je suis assez grand que j’ai suffisamment d’expérience de la vie pour pouvoir contrôler mes émotions. Je pense que je peux me lancer à discuter avec de nouvelles personnes. Je ne sais pas comment m’y prendre mais par mimétisme je progresse, et puis je suis encore entouré d’amis. Donc j’échange avec de nouveaux humains mais je ne me suis pas vraiment mis au premier plan, je préfère encore rester avec mes anciens copains. La peur de l’inconnu prime. Mais un monde inconnu m’intrigue plus que tout depuis un certain temps il n’est pas chez l’homme il est chez la femme. Je ne connais rien de ces personnes. Pourtant au plus profond de moi je ressens quelque chose d’indescriptible qui attire perpétuellement mon regard vers ces cheveux longs, vers ces silhouettes sublimes. Dans mon esprit ces trésors sont hors de portée d’un homme comme moi enfermé sur lui-même. Qui ne se reconnaît même pas dans un miroir. De plus la femme est l’être vivant interdit lors de nos missions, il a été répertorié comme étant créateur d’émotions incontrôlables et donc extrêmement dangereuses pour notre mission. Par nature l’homme est plus fort physiquement que la femme c’est lui qui décide dans le monde d’homo sapiens. Nous avons donc aucun intérêt a lié des réseaux avec la femme vu qu’elle n’a aucun pouvoir sur la population, mieux vaut concentrer nos efforts sur l’homme. Et pourtant ce quelque chose au fond du moi humain m’as fait vouloir parler à cet être inconnu. J’ai essayé par le passé à m’adresser au visage, mais inexpérimenté je n’ai jamais eu aucun retour. J’avais laissé tomber cette idée et m’étais concentré sur ma quête. Et là sans prévenir, soudainement tu es venue, je ne sais pas pourquoi mais tout de suite j’ai compris, que tu n’étais pas comme les autres. Pourtant je ne te connaissais pas je ne te scrutais pas comme les autres. Je n’ai jamais posé mon regard sur toi, et ne t’ai jamais projeté dans mon esprit comme je l’ai fait avec tant d’autres. Je ne connais même pas ton prénom. Et pourtant toi, tu veux à tout prix connaître le miens. Ma plus grande peur. J’ai été pris de cours surpris par les événements. Et quand tu m’as montré ton intérêt pour moi, je n’ai pas su répondre. D’un côté si je refusais je provoquerais chez toi une forme de haine que j’ai déjà pu observer par le passé et qui peut nuire. De l’autre si j’accepte je décalerai cette fatalité à plus tard, et subviendrai à ce je ne sais quoi qui bouillonnait en moi. J’ai pris la deuxième option et étais assez confiant pour que cette mésaventure se termine vite. J’ai pris tout de suite le plus de distance possible et j’étais à peu près sûr que ma personne te répugnerait. J’ai commis de nombreuses erreurs qui t’ont blessées. C’est la première fois de ma vie que je voyais directement les conséquences de mes actes. Que je voyais que si je disais cela tu réagirais comme ceci. Au début je tâtonnais, il y a eu beaucoup de raté. Je n’étais pas sensible aux ratés je m’en réjouissais même et espérai que tu te séparerais pour mettre fin à mon erreur, et pour reprendre ma mission. Mais contre toute attente tu restais, sans savoir pourquoi tu restais mais tu étais là tout près de moi. J’avais l’impression que ma seule présence t’apportait quelque chose d’incroyable. Elle dessinait sur ton visage un sourire que je n’avais encore jamais vu. Pour ma part ta présence m’étonnait encore mais avec le temps j’ai fini par t’accepter. Chaque jour de plus avec toi étais une surprise pour moi, ma peur de faillir ma mission s’érodait peu à peu, avec elle mon but de monté un nouveau réseau s’arrêtait. Et ce temps passé auprès de toi m’as permis de découvrir l’autre sexe d’homo sapiens. La vie sur Terre pour toi est bien plus difficile que pour moi. L’homme étant plus fort physiquement, il a naturellement dominé les premiers instants d’homo sapiens. Et depuis il n’a jamais lâché sa domination. Il a tout construit à son modèle. Toutes les sociétés toutes les religions, tout a été construit par l’homme pour l’homme. Ainsi la vie sur Terre pour les femmes et bien plus compliqué que pour nous. Et cette vérité m’a plutôt choqué. Pendant toutes ces années les femmes ont été sur la touche du monde uniquement à cause de leurs faiblesses physiques et elles le sont encore aujourd’hui. Mais ce que j’ai vu en toi c’est que cette faiblesse physique t’as formé une force mentale que je n’ai vu nulle part ailleurs. Un esprit infiniment plus fort que le mien. En fait à l’opposer de l’homme, la femme est faible à l’extérieur mais forte à l’intérieur. Cela doit être pour cette raison aussi que nous ne ciblons pas à la femme dans nos missions. Quand je suis avec toi je ressens ton attention, je n’en avais jamais connu une pareil. Toute ma vie je suis resté dans mon coin fermé, je me plais bien avec moi-même. Mais toi tu en as décidé autrement et à chaque fois que tu en avais l’occasion tu venais te blottir contre moi. Et à force de te voir, d’échanger avec toi, de partager des émotions, non seulement je t’ai découvert, mais en plus je me suis découvert moi-même tu as été mon miroir. Pour la première fois dans ma vie j’ai pris conscience de qui j’étais et tu m’as donné confiance en qui j’étais. Et un jour la surprise après tout ce que tu m’as montré de toi. Tu m’as montré ta détresse intérieure que tu m’avais caché, que tu avais accumulé avec toutes mes erreurs passées. Et pour la première fois j’ai été ému, j’ai ressenti ce qui sommeillait au fond de moi, je tenais à toi. Je tenais à voir ton sourire sur ton visage, je tenais au regard bienveillant que tu me portais, je tenais à te voir heureuse c’est ce que j’espérais profondément chaque jour pour toi. Mais là tu m’as caché ton sourire. Alors j’ai décidé de changer et de m’ouvrir à toi. Car mon désir le plus profond c’était de revoir ce sourire encore et encore. C’est l’élixir de mon bonheur, ma raison de vivre. J’ai fait comme tu m’as appris, je me suis collé à toi je ne te regardais plus que toi. Tu étais mon tout à mes yeux. Et nous étions heureux, j’ai même appris à sourire comme tu me l’as montré. Ma vie était belle j’étais heureux comme je ne l’ai jamais été auparavant, heureux d’être un humain, tout allait bien. Je n’étais même plus soucieux de ma mission. Mais comme pour toutes choses rien n’est infini et le temps nous a séparé. Nos environnements nous ont façonnés différemment si bien que les rares fois où nous nous retrouvions, nous ne retrouvions plus cette magie passée. Ça m’a beaucoup affecté, ce fut dur d’accepter que les bons moments passés ensemble étaient derrière nous. Ça m’a fait beaucoup souffrir, et longtemps j’ai refusé de l’admettre. Je m’efforçais de croire que ce n’était qu’un passage, de continué comme si de rien n’était. Mais la vérité ma rattrapé et j’ai vu que de dissimuler la vérité ne faisait que te blesser un peu plus fort chaque jour. Depuis longtemps je n’avais plus vu ton sourire. La fin de notre histoire, je n’en doutais pas une seconde. J’avais fini par m’y faire l’idée à m’y préparer, mais quand allait elle arriver je n’en savais rien, le plus loin possible. Et puis le moment est arrivé, aussi prévisible soit-il. Aux premiers instants j’étais content pour toi, tu avais réussi à prendre une grande décision, une décision que je n’aurais jamais été capable de prendre moi-même. Et puis nos chemins s’était séparé, il était préférable de se séparer à notre tour en se souhaitant le meilleur que de forcer le destin et se séparer en se souhaitant le pire. Mais de mon côté je n’avais jamais connu cette situation, j’étais habitué à recevoir une forme d’attention positive de ta part. Ma plus grande peur c’était de la voir disparaître, elle m’a permis d’avancer, d’avoir un repère sur lequel poser mon regard pendant les tempêtes. Alors j’ai continué de me comporter comme si de rien n’était, enfin presque je me forçais à montrer un peu plus de distance dans nos échanges mais je n’en pensais pas moins. Et puis la réalité m’a éclaté au visage aussi brute et violente. J’ai découvert que tu m’avais remplacé. Le choc fût violent, et j’ai senti une douleur que je n’avais jamais ressenti en plein cœur, je venais pour la première fois de ma vie sentir mon cœur et cette douleur s’est répandu dans tout mon corps. Elle m’a empêché de dormir, retenue de manger mais surtout elle m’a repris ce que tu m’avais donné, elle m’a repris mon sourire. Et pour la première fois je comprends comment l’humain est capable d’en arriver à faire des folies envers lui-même. Les émotions qui le traversent sont très puissantes. Mais de toutes les émotions connues, celle-ci est sans doute la plus forte. Je t’en voulais et cela me paraissait complètement légitime. Dans ma tempête d’émotions je voulais faire resurgir ma violence intérieure. Je me sentais vide, sans savoir ni quoi faire ni à qui parler, j’étais perdu. Et dans ma tristesse, j’ai préféré me refermer encore une fois sur moi-même. Le monde qui m’entoure m’a paru triste. À mes yeux tout ce malheur n’était que de ta faute. Puis un jour, j’ai vu par hasard une photo de vous deux. Et là sur ton visage j’ai vu ce sourire, ton sourire. Ça a été pour moi le signe que tu étais heureuse comme tu as été heureuse avec moi. Et ce sourire m’a rappelé à quel point tu m’as rendu heureux à quel point tu m’as apporté beaucoup de choses, et je m’en suis voulu. J’ai voulu blesser la personne qui m’a donné tant. Qui m’as appris pourquoi je suis là, pourquoi nous sommes là. Qui m’as appris ce que le mot amour signifiait. Qui m’a donné conscience qu’avant d’être un espion, je suis un humain. Tu m’as donné ton amour, tu m’as appris à aimer avec le cœur et c’est la plus belle chose que j’ai connu. Et cette chose aussi belle que l’amour entre les humains est la raison de notre échec face à homo sapiens. Car l’amour, aussi longtemps qu’existera la vie, soignera toutes les plais et l’humanité en ressortira toujours plus belle. Alors si j’écris ce livre, c’est pour te rendre hommage, pour rendre à l’humanité toute entière l’amour que tu as su me donner. Tu m’as montré ce qui reposait au fond de moi, au fond de tous les humains, l’amour. Et c’est cet amour-là qui m’a changé, qui m’a fait croire en l’humanité, qui m’a montré quel est son but dans sa courte vie. Nous ne sommes là que pour s’aimer, aimer l’humanité. Pour ton anniversaire, et jusqu’au restant de mon existence je montrerai au monde entier l’amour que tu as su me donner pour moi, pour l’humanité. Et Pour toute cette histoire et bien plus encore, merci Julie.
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2023.06.02 00:52 we-are-humanity Imaginaire partie 2

La discrimination est un autre exemple de nos actions. Elle est basée sur une différence insignifiante de l’individu. La peur de l’étranger qui prend racine dans la nature de l’Homme durant ces premières générations. Et cette méfiance est si futile et irrationnelle qu’elle est capable d’infliger de lourd dégât lorsqu’on l’a mise dans la tête de tous. Et malgré la religion et la science qui ont pour vocation d’unir l’humanité vers la lumière. La peur, l’obscurantisme et beaucoup d’influence prennent parfois le dessus. Et les résultats obtenus sont très éloquents. Nous avons implanté les discriminations dans toutes les cultures, elles prennent des formes et des degrés différents, mais sont présentes à toutes les échelles, discriminations sur les religions, sur la couleur de peau, sur les origines, opinions. Toutes les différences entre individus sont des prétextes supplémentaires pour ajouter de l’animosité dans homo sapiens. Fort à l’extérieur faible à l’intérieur. Le XXème siècle sera pour tous un siècle très mouvementé. Il voit le jour avec l’apothéose des grands empires qui traduit la soif d’exploration de nouvelles contrées et de domination face à lui-même. Sa propre colonisation fera des ravages. Au début du siècle se produit un événements que nous n’avons pas du tout imaginé. La découverte par des scientifiques de la relativité restreinte. Cette théorie scientifique est le premier pas vers la découverte notre espèce mais également de notre univers. Elle est la raison de ma mission sur Terre, car l’humain évolue de plus en plus vite avec ce surplus d’énergie. Il lui reste beaucoup à faire avant de le voir nous envahir. Mais si rien n’est fait il le fera pour sûr avec au moins autant de cruauté qu’il s’est infligé à lui-même. Dissipé l’énergie apporté par les énergies fossiles, telle est notre mission. Pour l’accomplir nous avons étudié la situation d’homo sapiens. Il s’est approprié toute sa planète. Et dans le monde colonial qu’il s’est infligé, plus aucun individu n’est indépendant vis à vis de son semblable. Grâce aux progrès techniques notamment mais surtout à l’idée grandissante de nation qui s’est diffusée avec la période des empires. Par un jeu d’alliance bien aiguiller de notre part, un conflit entre deux nations peut entraîner par effet domino des milliers voire des millions d’hommes vers un combat meurtrier. Une guerre mondiale, planétaire. Nous avons démontré qu’il était possible d’entraîner l’humanité toute entière dans un conflit sanglant et d’évaporé toute l’énergie de notre victime dans sa propre perte. Cette guerre nous a fait beaucoup progresser, elle a ouvert une boîte de Pandore. Une course à l’armement, un développement de technologie jamais vu dans notre but de tué homo sapiens. Nous avons naturellement décidé de tout mettre en œuvre pour laisser cette boîte ouverte. Nous nous sommes assurés de voir signer les traités de paix les moins pacifistes qu’ils soient. Qui invitent à la vengeance. Pour voir naitre nouvelle guerre mondiale. Nous avons imaginé un nouveau schéma pour contrôler les États. Au lieu d’une famille royale ou d’un système démocratique, qui laisse peu de marge de manœuvre pour nos conseillers. Nous avons imaginé un système où tous les pouvoirs reposeraient dans les mains d’un seul homme. Centraliser le pouvoir nous facilite la tâche. Dans les démocraties ou la diversité d’opinion est importante, il nous faut convaincre beaucoup plus de monde pour arriver à nos fins. Plus il y a de diversité moins la population du pays est malléable pour nous. A l’inverse plus le dictateur a une emprise sur sa population plus nous pouvons faire de grandes choses. Nous réduisons au maximum la diversité intellectuelle du pays en dupliquant l’idéologie du grand chef dans la tête de tous ses citoyens. Ainsi s’il saute d’une falaise c’est toute sa nation qui sautera avec lui, dans l’hypothèse où la diversité cognitive ait été réduite à zéro. Et au milieu du XXème siècle nous avons failli atteindre ce zéro. On a même cru voir la fin d’homo sapiens. Nous avions acquis tellement de pouvoir avec nos dictateurs que nous n’avons même pas eu de contestation à la mise à mort de dizaines de millions d’humains. Nous avons mis en place une organisation méthodique, une industrialisation de la mort, cela nous a été très compliqué. Il a fallu diviser la tâche pour que chacun apporte une petite pierre au tombeau de l’humanité, tout en dissimulant le plus possible le résultat final. Aussi il a fallu mettre en place un planning de la mort. En effet s’il ne se soucie pas de ce qu’il ne voit pas, l’humain ne peut pas vivre sans voir. Malheureusement l’humain reste un animal imprévisible et nos dictateurs se sont laissé avoir par leur soif primitive de domination. Et ont provoqué leurs chutes en provoquant plus fort qu’eux. Certes elle a entraîné la mort de millions d’humains mais a fait faillir notre tentative de mise à mort totale. Toutefois cette guerre mondiale nous a apporté la clé de notre mission. La bombe atomique. L’homme a découvert la réaction nucléaire en chaine, mais toute découverte n’est pas bonne à prendre surtout en temps de guerre ou le seul but est de tué. Ainsi cette découverte sera immédiatement mise à disposition comme une nouvelle arme de destruction de masse. Une arme monstrueuse capable de réduire à néant des milliers de vie humaine en une fraction de seconde. Quel que soit le futur, cette arme est un pas en avant vers l’extinction d’homo sapiens. Cette arme est irrationnelle, à l’image de la période à laquelle elle a été créé. Mais c’est une nouvelle boîte de Pandore qui s’est ouverte et cette boîte a changé à tout jamais notre approche de la mission. La priorité étant maintenant d’arrêté à tout prix homo sapiens quitte à faire une impasse sur la vie sur Terre. Après cette guerre les humains ont mis en place une organisation mondiale censée ramener la paix et ne plus jamais se voir reproduire les horreurs passées. Et pourtant à peine le conflit terminé que des tensions internationales sont réapparues. Les traités de paix ne viennent pas apporter la paix, mais encore une fois récompenser les vainqueurs, en leur donnant une position à part dans l’organisation. Ils sont ancrés dans l’outil de paix et personne ne peut les arrêter. Pour recréer un climat de tension et de mise en danger d’homo sapiens, nous avons distribué l’arme atomique à de nombreuses nations pour que la prochaine guerre mondiale devienne nucléaire et réduise en poussière notre espèce ciblée. De plus nous travaillons depuis lors à la mise en place de dictateurs aussi puissant que ceux d’antan mais avec le feu atomique toujours dans les mêmes ambitions. Nous avons à nouveau dirigé les jeux d’alliance pour crée au rang mondial une bipolarisation du monde. Période comparable au moyen âge où les religions se battaient pour imposer sa vérité aux autres. Il y eu beaucoup de conflits indirects entre les deux blocs, à chaque fois nous pensons avoir accompli notre travail. Mais l’humain est si illisible que notre succès est encore à faire et la bombe atomique n’a pas encore été employé à grande échelle. Ces guerres nous ont quand même donné une nouvelle carte en main en distribuant des millions d’armes de guerre à un très grand nombre d’humains. Ce qui constitue un excellent terreau pour convertir à l’échelle individuelle les conflits entre États, et utiliser toutes formes de discriminations pour faire pression sur la détente. C’est dans ce contexte de chaos que j’ai été envoyé en mission. Peu avant mon arrivée deux choses crée par l’homme, allaient bouleverser mon planning, internet et les smartphones. Ces deux inventions combinées ont permis à l’homme moderne de faire une petite révolution qui est de connecté en temps réel des centaines de millions d’individus. Et dans notre optique de casser les liens entre les individus cela nous a inquiété. En plus cette technologie s’est appliquée simultanément dans tous les pays, pour tout le monde. Elle a mis en lumière des absurdités, fait trembler des dictatures, car n’importe qui peut partager au monde entier ce qu’il voit sans aucun filtre ni aucun délai. Mais ce nouvel univers digital, nous l’avons su nous l’approprier. En effet l’internet réuni tous les humains, toutes les cultures car il ne possède aucune restriction. Il réunit l’homme dans un univers fictif. C’est grâce à cette particularité qu’il peut être un outil très puissant. Étant donné qu’il n’est pas contrôlé notre anonymat en est garantie, de plus la manière de fonctionnement d’internet implique de stocker toutes sortes d’informations très précises sur chacun des utilisateurs. Ces informations nous y avons accès, et plus il y a d’humains sur internet plus notre connaissance dans homo sapiens s’affine. Ces informations nous montrent instantanément les effets de nos influences sur la cible. Avec internet, les réseaux sociaux se sont progressivement dématérialisés. Nous les avons d’abord soumis aux jeunes humains qui sont nos cibles les plus influençables et le futur de l’humanité. Cette nouvelle arme que sont les réseaux sociaux nous a permis d’éloigner encore plus l’humain à lui-même, d’alimenter les tensions en son sein en dupliquant toutes les formes de discriminations déjà présentes dans le monde réel et en y ajoutant un nombre illimité de fausses informations. L’humain a récemment fait évoluer son monde d’interaction digitale avec des réseaux sociaux qui utilisent la mémoire de court terme. Cette évolution amplifie le phénomène de bulle cognitive avec une répétition intensive d’informations similaires et une augmentation du temps d’exposition à ces réseaux de nouvelle génération. La mémoire à court terme ne laisse pas la place aux réflexions posées mais à l’irrationalité et aux émotions ce qui a tendance à accentuer encore d’avantage l’addiction de l’individu. Nous sommes maintenant capables de mettre chaque individu dans sa bulle face à son écran, de telle sorte qu’il n’y ait pas deux bulles similaires, qu’il n’y ait pas deux humains semblables. Qu’ils ne se reconnaissent plus pour qu’ils s’affrontent tous. En plus ces réseaux sociaux font apparaître leurs contenu grâce à un algorithme, ce qui permet de choisir ce qui sera vu par qui, quand et où. Nous pouvons choisir qui ira dans quelle bulle. Ainsi pour notre plus grand bonheur l’humain nous a fait cadeau de l’outil de propagande le plus puissant jamais vu dans son existence. On a obtenu en quelque sorte une dématérialisation de la vie sociale d’homo sapiens, et une simplification de notre mission par la même occasion. C’est notre nouveau moyen de pouvoir sur homo sapiens, et dans le futur nous allons le synchroniser avec les dictatures déjà existantes. Ce cocktail explosif n’a que peu de chance d’aboutir à une vraie fin pure et simple de l’espèce entière. Cela peut au plus lui apporter quelques égratignures. Tous ces artifices n’ont que vocation à détourner l’attention et à dissiper au maximum l’énergie acquise grâce aux énergie fossiles. Car durant tout ce temps écoulé l’humain a déployé une énergie folle pour se battre contre lui-même et tous ces conflits lui ont apporté des blessures qui finissent naturellement par cicatrisées et n’auront laissé derrière elles que quelques marques inutiles à son existence. Alors que pour nous ces conflits sont un gaspillage d’énergie très intéressant car elle n’est pas utilisée pour son savoir et elle propage notre poison en quantité abondante. Notre poison est le résultat de la combustion d’énergie fossile. Un gaz à effet de serre très puissant. Il a été emprisonné par un long processus naturel long de plusieurs dizaines de millions d’années. Et tous ce gaz à effet de serre capturé à lentement changé le climat sur Terre et a ainsi à l’aide de la sélection naturelle fait évoluer les différentes espèces déjà présentes. Les grands singes ont évolué en homo sapiens indirectement grâce au changement climatique très progressif apporté avec la captation de carbone au fil du temps. Notre idée est essentiellement basée sur la destruction du travail de la nature. Et de manière très brutale de tel sorte qu’aucune espèce n’ait le temps d’évoluer. Comme pour la fin des dinosaures ou un changement climatique brusque, entraîner par un astéroïde, a provoqué l’extinction d’une majeure partie de la biodiversité présente et a éliminé définitivement la majorité des espèces présentes. En fait le dérèglement climatique ne tue pas directement homo sapiens, mais disparition des conditions de son apparition va provoquer sa propre perte. Nos calculs ont démontré qu’une espèce n’aura jamais la même énergie que l’ensemble des espèces vivantes additionnés. Cela pour la simple et bonne raison qu’aucune espèce du monde vivant capte l’énergie de la même manière et qu’aucune espèce n’est capable de capter l’énergie reçu par sa planète de toutes les manières différentes. Certes le savoir d’homo sapiens lui a permis d’acquérir des technologies capables de capter de différentes manières de l’énergie, mais très rares sont les techniques qui sont aussi optimisées que des centaines de millions d’années de sélection naturel. Ainsi chaque extinction d’espèces est autant d’énergie nécessaire pour remplacer sa fonction dans la biodiversité et préserver un environnement hospitalier. Et ainsi plus le nombre d’espèces disparus est important plus il faut de l’énergie pour compenser leurs fonctions. C’est un cercle vicieux, si trop d’espèces disparaissent, homo sapiens perd toute l’énergie capté par ces espèces, et en dépense infiniment plus pour remplacer leurs rôles sur Terre. Et comme nous l’avons rendu dépend aux énergie fossiles la boucle est bouclée. L’extinction d’une espèce est une petite victoire pour nous car cela signifie que la Terre perd les conditions à la survie de la biodiversité d’homo sapiens. Et donc le rapproche de sa disparition et la réussite de notre deuxième piste, provoquer le changement brusque des conditions climatiques sur la planète Terre et entraîner avec elle la disparition d’homo sapiens. J’ai compris mon travail, je vais influencer l’homme sur les réseaux sociaux. Mais pour moi avant de se lancer sur les réseaux sociaux, il faut se faire un réseau dans le monde réel pour comprendre un peu plus comment les humains en général interagissent entre eux. Depuis ma présence sur Terre mes échanges sociaux ont été très restreins comme on me l’avait conseillé. J’ai le sentiment que je suis assez grand que j’ai suffisamment d’expérience de la vie pour pouvoir contrôler mes émotions. Je pense que je peux me lancer à discuter avec de nouvelles personnes. Je ne sais pas comment m’y prendre mais par mimétisme je progresse, et puis je suis encore entouré d’amis. Donc j’échange avec de nouveaux humains mais je ne me suis pas vraiment mis au premier plan, je préfère encore rester avec mes anciens copains. La peur de l’inconnu prime. Mais un monde inconnu m’intrigue plus que tout depuis un certain temps il n’est pas chez l’homme il est chez la femme. Je ne connais rien de ces personnes. Pourtant au plus profond de moi je ressens quelque chose d’indescriptible qui attire perpétuellement mon regard vers ces cheveux longs, vers ces silhouettes sublimes. Dans mon esprit ces trésors sont hors de portée d’un homme comme moi enfermé sur lui-même. Qui ne se reconnaît même pas dans un miroir. De plus la femme est l’être vivant interdit lors de nos missions, il a été répertorié comme étant créateur d’émotions incontrôlables et donc extrêmement dangereuses pour notre mission. Par nature l’homme est plus fort physiquement que la femme c’est lui qui décide dans le monde d’homo sapiens. Nous avons donc aucun intérêt a lié des réseaux avec la femme vu qu’elle n’a aucun pouvoir sur la population, mieux vaut concentrer nos efforts sur l’homme. Et pourtant ce quelque chose au fond du moi humain m’as fait vouloir parler à cet être inconnu. J’ai essayé par le passé à m’adresser au visage, mais inexpérimenté je n’ai jamais eu aucun retour. J’avais laissé tomber cette idée et m’étais concentré sur ma quête. Et là sans prévenir, soudainement tu es venue, je ne sais pas pourquoi mais tout de suite j’ai compris, que tu n’étais pas comme les autres. Pourtant je ne te connaissais pas je ne te scrutais pas comme les autres. Je n’ai jamais posé mon regard sur toi, et ne t’ai jamais projeté dans mon esprit comme je l’ai fait avec tant d’autres. Je ne connais même pas ton prénom. Et pourtant toi, tu veux à tout prix connaître le miens. Ma plus grande peur. J’ai été pris de cours surpris par les événements. Et quand tu m’as montré ton intérêt pour moi, je n’ai pas su répondre. D’un côté si je refusais je provoquerais chez toi une forme de haine que j’ai déjà pu observer par le passé et qui peut nuire. De l’autre si j’accepte je décalerai cette fatalité à plus tard, et subviendrai à ce je ne sais quoi qui bouillonnait en moi. J’ai pris la deuxième option et étais assez confiant pour que cette mésaventure se termine vite. J’ai pris tout de suite le plus de distance possible et j’étais à peu près sûr que ma personne te répugnerait. J’ai commis de nombreuses erreurs qui t’ont blessées. C’est la première fois de ma vie que je voyais directement les conséquences de mes actes. Que je voyais que si je disais cela tu réagirais comme ceci. Au début je tâtonnais, il y a eu beaucoup de raté. Je n’étais pas sensible aux ratés je m’en réjouissais même et espérai que tu te séparerais pour mettre fin à mon erreur, et pour reprendre ma mission. Mais contre toute attente tu restais, sans savoir pourquoi tu restais mais tu étais là tout près de moi. J’avais l’impression que ma seule présence t’apportait quelque chose d’incroyable. Elle dessinait sur ton visage un sourire que je n’avais encore jamais vu. Pour ma part ta présence m’étonnait encore mais avec le temps j’ai fini par t’accepter. Chaque jour de plus avec toi étais une surprise pour moi, ma peur de faillir ma mission s’érodait peu à peu, avec elle mon but de monté un nouveau réseau s’arrêtait. Et ce temps passé auprès de toi m’as permis de découvrir l’autre sexe d’homo sapiens. La vie sur Terre pour toi est bien plus difficile que pour moi. L’homme étant plus fort physiquement, il a naturellement dominé les premiers instants d’homo sapiens. Et depuis il n’a jamais lâché sa domination. Il a tout construit à son modèle. Toutes les sociétés toutes les religions, tout a été construit par l’homme pour l’homme. Ainsi la vie sur Terre pour les femmes et bien plus compliqué que pour nous. Et cette vérité m’a plutôt choqué. Pendant toutes ces années les femmes ont été sur la touche du monde uniquement à cause de leurs faiblesses physiques et elles le sont encore aujourd’hui. Mais ce que j’ai vu en toi c’est que cette faiblesse physique t’as formé une force mentale que je n’ai vu nulle part ailleurs. Un esprit infiniment plus fort que le mien. En fait à l’opposer de l’homme, la femme est faible à l’extérieur mais forte à l’intérieur. Cela doit être pour cette raison aussi que nous ne ciblons pas à la femme dans nos missions. Quand je suis avec toi je ressens ton attention, je n’en avais jamais connu une pareil. Toute ma vie je suis resté dans mon coin fermé, je me plais bien avec moi-même. Mais toi tu en as décidé autrement et à chaque fois que tu en avais l’occasion tu venais te blottir contre moi. Et à force de te voir, d’échanger avec toi, de partager des émotions, non seulement je t’ai découvert, mais en plus je me suis découvert moi-même tu as été mon miroir. Pour la première fois dans ma vie j’ai pris conscience de qui j’étais et tu m’as donné confiance en qui j’étais. Et un jour la surprise après tout ce que tu m’as montré de toi. Tu m’as montré ta détresse intérieure que tu m’avais caché, que tu avais accumulé avec toutes mes erreurs passées. Et pour la première fois j’ai été ému, j’ai ressenti ce qui sommeillait au fond de moi, je tenais à toi. Je tenais à voir ton sourire sur ton visage, je tenais au regard bienveillant que tu me portais, je tenais à te voir heureuse c’est ce que j’espérais profondément chaque jour pour toi. Mais là tu m’as caché ton sourire. Alors j’ai décidé de changer et de m’ouvrir à toi. Car mon désir le plus profond c’était de revoir ce sourire encore et encore. C’est l’élixir de mon bonheur, ma raison de vivre. J’ai fait comme tu m’as appris, je me suis collé à toi je ne te regardais plus que toi. Tu étais mon tout à mes yeux. Et nous étions heureux, j’ai même appris à sourire comme tu me l’as montré. Ma vie était belle j’étais heureux comme je ne l’ai jamais été auparavant, heureux d’être un humain, tout allait bien. Je n’étais même plus soucieux de ma mission. Mais comme pour toutes choses rien n’est infini et le temps nous a séparé. Nos environnements nous ont façonnés différemment si bien que les rares fois où nous nous retrouvions, nous ne retrouvions plus cette magie passée. Ça m’a beaucoup affecté, ce fut dur d’accepter que les bons moments passés ensemble étaient derrière nous. Ça m’a fait beaucoup souffrir, et longtemps j’ai refusé de l’admettre. Je m’efforçais de croire que ce n’était qu’un passage, de continué comme si de rien n’était. Mais la vérité ma rattrapé et j’ai vu que de dissimuler la vérité ne faisait que te blesser un peu plus fort chaque jour. Depuis longtemps je n’avais plus vu ton sourire. La fin de notre histoire, je n’en doutais pas une seconde. J’avais fini par m’y faire l’idée à m’y préparer, mais quand allait elle arriver je n’en savais rien, le plus loin possible. Et puis le moment est arrivé, aussi prévisible soit-il. Aux premiers instants j’étais content pour toi, tu avais réussi à prendre une grande décision, une décision que je n’aurais jamais été capable de prendre moi-même. Et puis nos chemins s’était séparé, il était préférable de se séparer à notre tour en se souhaitant le meilleur que de forcer le destin et se séparer en se souhaitant le pire. Mais de mon côté je n’avais jamais connu cette situation, j’étais habitué à recevoir une forme d’attention positive de ta part. Ma plus grande peur c’était de la voir disparaître, elle m’a permis d’avancer, d’avoir un repère sur lequel poser mon regard pendant les tempêtes. Alors j’ai continué de me comporter comme si de rien n’était, enfin presque je me forçais à montrer un peu plus de distance dans nos échanges mais je n’en pensais pas moins. Et puis la réalité m’a éclaté au visage aussi brute et violente. J’ai découvert que tu m’avais remplacé. Le choc fût violent, et j’ai senti une douleur que je n’avais jamais ressenti en plein cœur, je venais pour la première fois de ma vie sentir mon cœur et cette douleur s’est répandu dans tout mon corps. Elle m’a empêché de dormir, retenue de manger mais surtout elle m’a repris ce que tu m’avais donné, elle m’a repris mon sourire. Et pour la première fois je comprends comment l’humain est capable d’en arriver à faire des folies envers lui-même. Les émotions qui le traversent sont très puissantes. Mais de toutes les émotions connues, celle-ci est sans doute la plus forte. Je t’en voulais et cela me paraissait complètement légitime. Dans ma tempête d’émotions je voulais faire resurgir ma violence intérieure. Je me sentais vide, sans savoir ni quoi faire ni à qui parler, j’étais perdu. Et dans ma tristesse, j’ai préféré me refermer encore une fois sur moi-même. Le monde qui m’entoure m’a paru triste. À mes yeux tout ce malheur n’était que de ta faute. Puis un jour, j’ai vu par hasard une photo de vous deux. Et là sur ton visage j’ai vu ce sourire, ton sourire. Ça a été pour moi le signe que tu étais heureuse comme tu as été heureuse avec moi. Et ce sourire m’a rappelé à quel point tu m’as rendu heureux à quel point tu m’as apporté beaucoup de choses, et je m’en suis voulu. J’ai voulu blesser la personne qui m’a donné tant. Qui m’as appris pourquoi je suis là, pourquoi nous sommes là. Qui m’as appris ce que le mot amour signifiait. Qui m’a donné conscience qu’avant d’être un espion, je suis un humain. Tu m’as donné ton amour, tu m’as appris à aimer avec le cœur et c’est la plus belle chose que j’ai connu. Et cette chose aussi belle que l’amour entre les humains est la raison de notre échec face à homo sapiens. Car l’amour, aussi longtemps qu’existera la vie, soignera toutes les plais et l’humanité en ressortira toujours plus belle. Alors si j’écris ce livre, c’est pour te rendre hommage, pour rendre à l’humanité toute entière l’amour que tu as su me donner. Tu m’as montré ce qui reposait au fond de moi, au fond de tous les humains, l’amour. Et c’est cet amour-là qui m’a changé, qui m’a fait croire en l’humanité, qui m’a montré quel est son but dans sa courte vie. Nous ne sommes là que pour s’aimer, aimer l’humanité. Pour ton anniversaire, et jusqu’au restant de mon existence je montrerai au monde entier l’amour que tu as su me donner pour moi, pour l’humanité. Et Pour toute cette histoire et bien plus encore, merci Julie.
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2023.06.02 00:09 AncientTime6943 Un truc que je pensais annecdotique est en train de réveiller plein d'anxiété (Avertissement : Décès)

Salut à tous, bon ben je ne sais pas trop par ou commencer mais bon... Pour faire court je suis assez confuse par rapport a un truc qui s'est produit y'a pas longtemps. J'ai appris il y a pas très longtemps qu'un crush (qui remonte à mon adolescence, genre 15 ans, j'en ai 33) était décédé, et depuis ce jour-là je me pose plein de questions sur ma propre vie, la personne avec qui je suis aussi (pas sous le même toit)
Au début je me suis dit c'est anecdotique ça allait pas m'affecter et tout... Mais au final ben je me rends compte que si. J'ai toujours été quelqu'un d'assez melancholique. Ça m'est arrivé plusieurs fois de retourner sur des lieux rien parce que j'avais de bon souvenirs. Et évidement les souvenirs du crush en faisaient parti...
J'ai toujours fonctionné comme ça, j'y peux rien. Mais je realise que je l'associait (sans le vouloir) a énormément de trucs dans ma ville (les endroits ou je le croisais du moins) et pas mal de trucs me font penser à lui au point que c'est pénible...
Il est mort quand même assez jeune (a peine 30 ans passé) et je sens bien qu'un bout de mon cerveau n'arrive pas à l'accepter.J'imagine que ça fait parti du processus de deuil mais bordel, malgré que je le connaissais à peine, juste de loin, il avait l'air à fond dans ce qu'il entreprenait et ça m'a toujours forcé le respect. En plus du sentiment de crush, forcément...
Du coup ben, me voilà. Je ne sais pas trop comment gérer tout ça. Ça me perturbe car je pense plus a lui que mon copain actuel... Alors qu'il n'est plus la. Il n'est littéralement plus qu'un tas de cendres désormais. Et puis il avait certainement une copine aussi. A côté de tout ça, je commence également à me demander si je corresponds bien a mon copain car c'est quelqu'un de très libre (avec des amis un peu atypiques qui n'ont pas les mêmes valeurs morales, surtout question couple et cela me bloques... Ce sont aussi des personnes du monde LBGT+ avec lesquels, j'ai, a la base peu de problèmes car je me sens agenre/non-binaire - ne me demandez pas de l'expliquer je sais pas comment ça marche je me sens juste ainsi) et du coup voila, je ne me sens pas trop à l'aise en leur présence. Je sens qu'on ne peux pas avoir d'echange sincere car il y aura ce blocage, en plus d'une certaine gêne car elles sont hyper-féminines, nombril a l'air aussi, j'ai du mal, ce n'est pas mon univers je suppose...) Enfin passé ça, je ne dis rien, il ne me contacte jamais vraiment pour grand chose... On a parfois de longs échanges sur certains sujets mais j'ai le sentiment que si je suis triste c'est ingerable. On joue souvent un peu trop a mon gout et se parle peu de nos ressentis (moi trop et lui jamais). Je n'arrive pas a communiquer avec lui sur ces sujets. Je reste la a ne pas reussir a lui en parler alors imaginez le fait de penser à un vieux coup de coeur et lui dire "ben ecoute je sais pas si on se correspond finalement", ça me manges le cerveau...
J'ai l'impression que la mort de cette personne a comme éclaté ma perception du monde et mes principes aussi. Je ne sais plus trop quoi penser. Je sais que ça finira sûrement par passer (ou me hanter visiblement... je passe un peu trop de temps sur sa page d'hommages c'est limite malsaint je pense) mais c'etait vraiment inattendu et je ne pensais pas que ça secouerais autant mes principes. Et on dirait bien que c'est ce qui s'est passé.
Je comprends plus rien. J'ai l'impression que le monde s'est écroulé sous mes pieds pour une connerie. Un vieux délire d'ado.
Enfin voila, si vous avez déjà vécu des situations similaires, je vous ecouterais les oreilles grandes ouvertes... Je ne sais plus quoi penser de tout ça. Je sais qu'il faudrait que j'engage une discussion avec mon copain actuel mais il va très vite se renfermer et se sentir attaqué je pense. Sur lui ou bien il trouveras que je juge trop ses amis j'imagine... Du coup je me sens dans une impasse. J'ai juste envie de me renfermer dans une bulle.
Voilà tout...
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2023.06.01 23:17 wisconsinpoli United States files trespass lawsuit against Town of Lac du Flambeau

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2023.06.01 23:12 tonzameriquedunord Lost média d'un cartoon dérangeant de youtube

BON alors ça fait des lustres que j'essaye de trouver cette abomination, j'ai tenté depuis des années d'autres forums et serveurs mais personne n'a la réponse.
TW Aggressions sexuelles et V*ols

tout d'abord j'ai été sur internet à un âge très très jeune, j'ai presque 17 ans maintenant et je recherche un dessin animé que je juge malsaint et pervers depuis mes 11 ou 12 ans.
J'avais peur être 9 ans à ce moment j'étais chez mon oncle, sur son canapé en cuir aux alentours de 21h30, sur ma tablette, je suis tombée sur un cartoon étrange et dérangeant

ce cartoon était presque muet, les personnages ne faisaient que de pauvres bruits de voix, il était dans un style typique des dessins animés soit asiatiques, soit adobe flash, l'animation aussi était typique adoble flash, plus du puppet que du dessin à la main frame par frame un peu à la Johnny test ou Mucha lucha, enfin ces vieux cartoons . Le dessin était très vectoriel
Le cartoon était uploadé en plusieurs langues différentes ( seul le titre changeait) allant de Espagnol à Coréen.

le personnage principal était un harçon aux cheveux bleus piquants et tombants, il était très petit de taille et ne portait qu'un long manteau noir avec de mémoire deux poches, vraiment JUSTE un manteau. il y avait un autre personnage primordial, une femme, grande, fine, avec des cheveux bruns/roux en queue de cheval et bouclés, elle portait une robe courte violette et je crois une ceinture verte. Cette fille travaillait dans un supermarché situé devant un parking assez vide, le décor était assez symétrique, droit et le ciel était je crois jaune.

le sujet principal : l'aggression

le jeune homme essaye d'aggresser sexuellement et continuellement cette jeune femme, il la suit, enlève son manteau, une flèche ( genre un logo de flèche, contour blanc et dégradé bleu ciel-bleu foncé) en guise d'attribut génital s'étire pour essayer d'entrer sous la jupe de la femme.

cette femme se faisait harceler par ce type, dans un épisode, elle est à un arrêt de bus, devant son lieu de travail ( on voit le parking et le supermarché en fond), le garçon arrive, retire son manteau avec un air très heureux et tente de rentrer sa "flèche" sous sa jupe, sauf qu'elle avait prévu le coup et mit des sous vêtements en métal ( on y voyait de souvenir les clous).

Ce bordel n'avait pas de morale, juste un " oohh bah il a pas reussi à la v*oler, une prochaine fois peut être hihi"

je recherche ce truc depuis des années, j'ai essayé de le dessiner en vitesse ( d'où la qualité explosée du dessin lol), si j'ai le temps, je ferais un dessin rapide du paysage et de la fille (je sais absolument pas si les deux dessins du mec bleu vont se poster)

merci d'avoir lu ce post totalement chaotique et surement bourré de fautes ( mon correcteur est anglais à l'aide), portez vous bien.
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2023.06.01 22:45 DavidDistributed Mostly need to know if it laid eggs in my car

Mostly need to know if it laid eggs in my car
My girlfriend left the driver side window open overnight (multiple nights ago, not last night). Fond Du Lac, Wisconsin, USA. Today, we found 2 of these already while driving. Since we didn’t see them immediately upon entering the car, I’m worried they stayed inside a nook and crawled out. So, do I have to fumigate my car? Did they lay eggs already? Could one be hiding still and lay eggs later? Also, what even is this bug?
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2023.06.01 20:46 Numentia Qu'est-ce que les femmes tendent à interpréter comme un indicateur d'intérêt romantique/sexuel masculin ?

Hello,
La question m'est venue en consultant une de mes conv messenger. Je reçois 200 msg en notif : scène typique, des potes débattent pour savoir si une connaissance est effectivement attirée par un des gars du groupe. Aussi, tous les arguments chelous sont de mises pour confirmer ou infirmer la thèse.
Je me suis dis que je m'étais jamais posé la question de savoir comment les filles raisonnent de leur côté. Beaucoup vont me dire que les hommes sont souvent très (régulièrement trop) directs, du coup pas besoin de jouer au psychologue de wish. C'est peut être vrai mais je trouve cela contestable ; perso, il m'est arrivé à qq reprises à ce que des filles pensent que j'étais attiré par elles juste pcq j'enchainais les vannes en leur présence (alors que je fais ça H24 avec tt le monde). J'ai même un pote qu'une meuf croyait à fond sur elle pcq il l'a regardé deux fois dans les yeux à l'improviste (???).
Curieux de savoir ce que vous en pensez :)
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2023.06.01 18:41 Lalounes59600 ma maison effrayante

Alors voilà,on venait d'emménager dans une maison que très récemment avant mon histoire et je ne me sentais pas a l'aise dans cette maison: elle était grande lugubre,sombre,des bruits bizzare mais aussi des objets qui disparaissaient et réapparaissait..des ombres effrayante la nuit que je voyait bouger...au début je pensais que c'était moi qui halluciner du faite que c'était une nouvelle maison et que je n'y était pas habituer mais un Lundi alors que je n'avais pas cours mes frères et soeurs partirent a l'école qui se trouver juste en face de chez moi et mes parents eux partirent travaillée je me suis donc retrouvé toute seule,je détestait les Lundi car j'étais toute seul et que je flipper toujours pour aller en bas pour prendre mon petit déjeuner alors pour me rassurer je m'étais toujours de la musique a fond(je sais sa sert a rien🤷🏽‍♀️mais bon🙃) alors du coup je déjeune voili voilou et en montant les marches d'escalier j'entends le plancher d'en haut grincer alors je commence déjà à me ch#er dessus mais littéralement alors je cours tellement vite dans les escaliers que je me ramasse🥲je m'éxplose les genoux(les marches sont en pierre) Et je me relève immédiatement Je fonce dans ma salle de bains et m'enferme à clef je me retrouve avec un bleu comasse sur le genoux droit💀et je m'assoie sur mon toilette avec mon tél et je commence à y jouer pour déstresser et a un moment je sors car ça me soule je me dis que c'est moi qui psichote j'ouvre la porte et a ma droite y a une armoire avec un miroir dessus
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2023.06.01 18:22 DoLooP_ [Equipements] 2000Km en france ou presque

Vendredi soir dernier j'ai donné rendez-vous à mes potes à Montmarrault. Ça faisait égalité en termes de distance pour tout le monde... du genre 5 h de route après le boulot: "easy !".
(@ ceux qui ont lu ça avec la voix de BlkMrkt: il y'a l'adresse d'un psy à la fin.)
Que la France est belle ! On a encore traversé des régions extraordinaires, des départements magnifiques, quatre-vingts % sous une météo parfaite ,20% sous une météo pourrie.
C'est pas vraiment grave: on avait l'équipement et à part moi tout le monde était en goretex... ce qui change vraiment la vie par rapport à il y a 20 ans. Moi, je suis revenu à ma vieille combi pluie. Le goretex ça tient un tout petit peu plus chaud et les fringues coutent un bras... surtout quand on tombe avec en "randuro". Et finalement, avec un pantalon revit h2o over-size ça passe directement même sur d'énormes bottes.
Curieusement, je préfère mes alpine star tech 10, qui sont d'énormes bottes enduro avec un chausson intérieur, à toutes mes bottes confondues, route y compris. Le chausson intérieur, c'est top. Ça permet de sécher le soir si vraiment on a laissé pleuvoir dedans, et ça permet de rafraîchir les pieds à la pause de midi en gardant un semblant de chaussures légères. Ca n'est pas du tout noté sur la notice, mais ces bottes sont parfaitement étanches. Ça doit peut-être être normal pour des bottes d'enduro de traverser des rivières à pied et de rester sec tant que le niveau de l'eau ne dépasse pas le soufflet :D
Donc, j'étais équipé en tenue aventure pour cette balade: tech10, dainese D-explorer (doublure goretex mais elle reste dans le sac) et casque enduro airoh aviator 3... avec les lunettes chromatiques scott pro haut de gamme pour finir le tableau. Le casque est sans grand intérêt pour la route (ni l'autoroute: mais ca passe), l'effet light-sensitive des lunettes est top, quand à lui. Mais bon, une visière fumée à 25% apporte quasiment le même confort.
J'avais sonorisé le casque avec un sena SF2. La qualité du son est devenue époustouflante... alors que c'est un appareil entré de gamme. Avant ça j'avais un sena sm10r. C'est marrant, on sent qu'ils partagent les mêmes bases logicielles car les menus, les boutons et l'organisation sont exactement les mêmes. Les fonctions intercom sont compatibles et marchent sans anomalie.
Pendant ces 5 jours j'avais une passagère. Elle fait de la moto-passager depuis peu, mais elle a un équilibre de folie... elle s'engage dans les virages, s'endort quand je me traine, et écoute de la musique quand je l'ennuie. Je n'arrive pas à lui faire peur, même quand j'essaye de fuir le groupe qui me suit. Chapeau à elle !
Tout ça pour parler de la moto: une KTM 890r adventure de 2021. La place passager est validée. Le conducteur de l'ensemble (moi) valide également. j'atteins les 50000Km au guidon de cette plateforme, et j'aime bien. C'est super polyvalent, la motorisation plutot sportive, rageuse, joyeuse, est largement suffisante pour bien s'amuser à deux contre des solos. L'électronique est excellente, même si je n'ai rien déclenché: j'ai une conduite très coulée. Les suspensions sont archis top en réglage confort, un peu de serrage sur la détente de l'amortisseur, et même pas de précontrainte. Par défaut la moto est très stable, j'ai descendu l'avant d'un cran sur les fourreaux pour avoir une conduite parfaitement naturelle: on pourrait lacher le guidon sans que ca bouge à ni'mporte quel angle. Le freinage n'est pas super haut de gamme: je n'ai pas l'impression de perfection et de progressivité parfaite qu'on trouve chez brembo, mais ca marche quand même très - très bien. La selection est à chier: il faut bien verrouiller les rapports, alors que d'autres boites verrouillent quasiment toute seule. Quand au shifter, bof. Pour avoir essayé, il est bien mieux sur d'autres bécanes. En tout terrain c'est vraiment bien de l'avoir. Sur route je ne l'utilise pratiquement plus... sauf pour tout donner en sortie d'épingle. Mais passagère oblige, j'évite un peu: on a (presque) plus 20 ans.
C'est curieux à emmener une roue de 21 pouces. Il faut un geste combiné pied guidon pour les faire tourner sans effort, en tout cas sur cette moto. Si c'est mal exécuté, on en a vite plein les bras. Si c'est maitrisé, on peut enchainer les changement d'angle vraiment sympa... Comme si: "ca se guide au pied, ca se ressent au guidon". tout ce qu'il faut pour avoir un bon retour d'info rassurant et formateur, quoi.
Enfin: le frein moteur: il manque. J'ai du apprendre à freiner de l'arrière, alors qu'avant: JAMAIS ! L'avantage c'est qu'il n'y a pratiquement aucun accoup de transmission: dès les moyens régimes (6000 tours !) il y'a une assistance (j'aime pas !) qui relache automatiquement le frein moteur. Il faut donc une conduite haut dans les tours pour en avoir vraiment... ce qui est également très formateur pour la conduite sportive. C'est une cylindrée moyenne après tout: sans être creuse, (puisqu'elle est moyenne) elle est plus parfaite haut dans les tours. Et là le shifter marche très bien.
Les bagages (pour deux!) un simple sac banane 21brothers rogal 35l de ... 2019 ? Madame avait un sac à dos (pas bieeeeen) de 20L bourré de volume (et pas de poids). Ca l'a très bien fait: on avait des fringues pour le soir, l'équipement chaud, les doublures goretex en trop et les outils. Le Rogal conserve la place passager intégralement, et le sac à dos est soutenu... mais pas trop haut. Donc aucune fatigue de ce coté là. C'est simple, c'est rustique et ca ne pete pas les tibias quand on se bourre. Après avoir eu 150L de top cases en trio, je fais l'éloge de la simplicité... c'est fou le nombre de merdes qui servent à rien que je n'emmène plus... ca allège d'autant la tête ! Ce sac a été de tous mes voyages depuis que je l'ai. Et a part les sangles qui commencent à être fatigué, ca roule.
Le gps ? Mon smartphone monté sur sp-connect. Le sp-connect monté sur une boule ram, en haut derrière la bulle dakar. alimenté par un allume cigare PowerDelivery premier prix, régulièrement arrosé de wd40 pour éviter l'oxydation. Ca fait un setup très lisible, qui se recharge à 1% la minute.
J'ai préparé les traces sur gpx-studio (en ligne). Les copains ont réussi à les suivre avec divers logiciels: de osmand a des trucs bmw plus obscure. Moi cette fois j'ai pris Locus, mais je change tout le temps parce que je suis un gros geek. Pas de kurviger ici: même si ca donne des résultats frais et surprenant la plus part du temps, j'ai préféré partir d'un fond de carte michelin pour assurer le coup... et mazette: "je n'ai jamais vu autant de paysages aussi beaux en si peu de temps." dixit ma passagère.
Grosse réussite de l'opération n'empèche: ca fait des années que j'essaye de lui expliquer pourquoi je fais ça, mais ces 1000 paysages vus ont battu un million de mots.
Allez, à la revoyure Internet !
Si tu as lu ca avec la voix de Tom Barrer, faut vraiment que tu fasses une pause de Youtube.
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2023.06.01 18:07 Anonyme11111 Conjoint hypochondriaque, moi malade

(throwaway account)
Mon partenaire (27M) est très hypochondriaque, il se pense toutes les maladies du monde au moindre bobo et s'arrête de vivre dès qu'il a mal. Moi (25F) de mon côté, depuis mon enfance je suis abonnée à l'hôpital, je souffre de douleurs constantes et à différents endroits, j'ai des traitements lourds qui me demandent beaucoup d'efforts (on est ensemble depuis 7/8 ans ).
On fonctionne très différemment là dessus lui et moi. Je sais pas pourquoi ça me frustre que maintenant. J'ai comme une part de jalousie ( qui ne devrait pas être là, il souffre aussi mais d'une autre façon) qu'il n'ai mal "qu'à" un endroit par exemple. J'ai un peu l'impression au fond qu'il se rend pas compte d'à quel point je souffre, alors qu'il est très très plaintif sur ses souffrances. Il bloque entièrement sa vie depuis qu'on se connait en disant qu'il a mal, et de mon côté je force pour entretenir le foyer. Si je parle du fait que moi j'ai mal il se met sur la défensive.
Notre couple va bien partout sauf là dessus. On a l'air cons quand je nous décris comme ça, mais on l'est vraiment sur ce sujet. On a tout les deux un suivi psy ( mais pas commun ) : On est tout les deux cassés de la vie, et les pb de santé viennent nous casser vraiment individuellement, et ça commence à couler sur notre couple.
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2023.06.01 17:36 Head_Angle_9208 STB si je suis jalouse que mon copain partent 3 jours en vacances avec son amie d'enfance ?

Bonjour à tous, c'est la première fois que je fais un post comme ça
Pour expliquer la situation, je suis avec mon copain depuis maintenant 1 an et demi. Quand nous avons commencé à sortir ensemble, il m'a expliqué que ses amis avaient organisé un faux mariage entre lui et son amie d'enfance pour fêter leur 18 ans, bien avant que l'on soit en couple. On leur a alors offert un cadeau pour deux : une smartbox massage et détente pour partir en vacances ensemble.
Quand il m'a raconté ça, j'avoue avoir d'abord été un peu surprise car personnellement je n'aurais pas organisé une fête sur ce thème-là pour des amis si je ne les voyais pas se mettre ensemble. Ensuite, parce que je n'avais jamais rencontré l'amie d'enfance dont il parlait, mais mon copain m'avait déjà beaucoup parlé d'elle, et ça même avant que l'on soit ensemble si bien qu'à l'époque je pensais qu'il me parlait de sa petite amie.
Mais je dois avouer que quand il me parle de cet Smartbox avec son amie et qu'il me demande si cela me gêne, je lui réponds sincèrement que non car nous n'étions ensemble que depuis 2 mois, et je n'étais pas certaine que notre couple allait durer jusque là. Je lui pose quand même des questions sur cette amie, si il y a déjà eu des ambiguïtés entre eux, mais il me répond que non.
Bref, beaucoup de mois passent avant qu'il ne me reparle de ses vacances avec son amie. Il me dit alors qu'ils ont enfin choisi une destination et qu'ils partent officiellement début juillet. Il me montrent alors les photos de l'endroit et me dit qu'ils vont dormir dans un château. Pendant qu'il me montre les photos des chambres, je tique sur un détail : je ne vois que des lits doubles.
Je demande à mon copain si c'est là qu'ils vont dormir et il me répond un peu gêné que oui, car l'endroit qu'ils ont choisi ne propose que des lits doubles. Sur le coup, je lui partage un peu ma gêne de savoir qu'il va dormir dans le même lit qu'une autre fille (que je n'avais toujours pas rencontré) mais il me dit qu'il ne voit pas où est le problème et que je peux lui faire confiance. D'ailleurs il se moque même de ma jalousie. J'essaye alors de ne pas trop y penser et de me remettre en question : je suis très pudique, par rapport à mon copain, et je ne me vois vraiment pas dormir avec un autre homme même si je sais qu'il ne se passera rien, mais je peux comprendre qu'il ne soit pas gêné lui-même par ça, surtout s'il connait son amie depuis la primaire.
J'en parle à des amis et elles trouvent que c'est un manque de respect de faire ça en étant en couple, qu'il aurait dû trouver une solution ou choisir un autre endroit. Je ne pense pas être aussi extrême que mes amies et je pense même qu'elles exagèrent, mais elles m'ont un peu conforté dans l'idée que la gêne que je ressens est peut-être normale et je commence à ressentir un peu de jalousie par rapport à cette situation mais je me dis que cela ira mieux quand j'aurais rencontré l'amie de mon copain.
Je la rencontre finalement quelques semaines plus tard pendant une soirée. Je n'ai pas beaucoup l'occasion de lui parler car elle était occupée mais elle m'a semblé plutôt sympathique. Je lui parle des fameuses vacances et elle me dit que je n'ai aucun souci à me faire, qu'elle considère mon copain comme un frère et qu'elle ne l'a jamais d'ailleurs vu aussi heureux qu'avec moi. Cette petite discussion me rassure grandement.
Je pensais que je pourrais alors passer à autre chose, mais maintenant que la date approche, je me sens de nouveau mal par rapport à tout ça. Surtout que mon copain ne prévoit rien pour passer ses vacances avec moi et quand je lui propose certaines activités que l'on pourrait faire cet été, il n'a pas l'air motivé. Et je repense aussi beaucoup à cette histoire de faux mariage car quand j'ai rencontré ses autres amis, aucun n'était vraiment très heureux de faire ma connaissance et je me suis demandé s'ils n'auraient pas préféré qu'ils soient plutôt avec son amie (mais j'avoue que c'est plutôt une théorie de ma part et que je n'ai rien de concret à apporter, à part que lui et ses amis se connaissent tous depuis très longtemps et qu'ils viennent du même village, alors que je viens d'une région différente donc la gêne peut venir de là aussi).
Bref, je n'arrive pas à m'empêcher d'être jalouse alors que finalement il n'y a rien de concret et je culpabilise beaucoup pour ça. Je n'en ai pas du tout reparlé à mon copain car je n'ai vraiment pas envie d'être chiante à propos de ça, surtout qu'il n'a pas l'air du tout de voir le problème dans cette situation alors je n'ai pas envie de créer une embrouille là où il n'y en pas. Mais au fond je trouve cela toujours un peu déplacée qu'ils dorment dans le même lit et je me demande si il n'y avait vraiment pas d'autres alternatives. J'ai aussi peur qu'il m'ait caché des choses sur sa relation avec cette fille. Est-ce que je suis une TB pour ça ?
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2023.06.01 17:05 --lizzie-- un pauvre travesti

Je sais plus quoi penser. Quand je me vois ça me rend si triste. J'aurais voulu être une fille réellement. J'ai 20 ans et ça fait deux ans que je suis hormonée. Je ne suis pas belle. On m'a déjà insulté parce qu'apparemment j'essaye de "piéger les mecs" alors que putain j'en ai rien à foutre c'est eux qui veulent me pécho car ils croient que j'ai une chatte.
on m'a déjà dit un 'trap' mais je me désigne avec des vieux termes. devant le miroir j'ai envie de crier parce que je pense que je suis une tapette, une tantouze. J'ai tellement pleuré
je veux pas être un piège. je veux être une fille comme les autres, qui peut porter un enfant et qui est XX. Mais peu importe les chirurgies qu'on puisse me faire au fond de moi je sais que j'aurais toujours la trace du masculin sur moi et qu'elle ne partira pas donc je serais jamais une vraie fille et puis je suis tellement moche
c'est pas juste, merde. pourquoi moi je suis née dans un corps de garçon? j'ai pas choisi d'être trans ça m'est tombé dessus comme une putain d'enclume je suis née avec ça, peu importe l'éducation ça aurait toujours été pareil, je suis destinée à souffrir. on avait dit à mon père que "ce n'est pas une maladie mais un emmerdement"
je suis un trav, un piège, une tapette, un monstre, et par dessous tout je suis putain de
🕰️y
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2023.06.01 17:04 DrPaulReedColemanIII Streak 23: les sports.

Je ne suis pas la personne la plus sportive au monde, mais j'aime bien le sport et l'activité physique tout de même. Quand j'étais enfant, les premiers sports que j'ai pratiqués de manière relativement fréquente étaient le cyclisme et le ski de fond. Je faisais même des compétitions de vélo de route, mais je ne prenais pas les entraînements très au sérieux alors j'obtenais de piètres résultats. À l'opposé, je ne souhaitais pas faire beaucoup de ski de fond parce que je déteste le froid. J'ai arrêté ce sport contrairement au reste de ma famille qui continue à ce jour de le pratiquer. J'ai aussi fait du soccer (foot) et du judo pendant un certain temps, mais j'ai arrêté très vite. Le sport le plus populaire était le hockey, mais je n'y ai jamais vraiment joué : soit je faisais du patin seulement, soit on jouait dans la rue et non sur la glace. Par contre, j'aime bien regarder les matchs de hockey à la télé. Je ne regarde pas vraiment les autres sports, sauf pour les grandes compétitions.
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2023.06.01 14:48 lhornelySoul Financement pour reno

J'aimerais avoir votre avis sur les différentes options de financement possible pour des rénovations majeures d'environ 40K sur une propriété de 400k avec 200k d'équité. Mes options sont les suivantes :
De plus, je me demande s'il est préférable de continuer à investir en parallèle de ces travaux. Habituellement, j'effectuais des versements réguliers dans mon CELI tous les quinze jours, mais depuis que j'ai pris la décision de rénover, j'ai commencé à cumuler des fonds dans un compte d'épargne. Étant donné le contexte économique actuel, j'ai l'impression qu'il est préférable d'éviter d'accumuler des dettes.
Commentaire - Opinion - Débat
Merci
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